17/6/2017 LA VENUE DU MACHIAH ?! GUERRE DE GOG ET MAGOG ?!
Machia'h, tenir bon - Rav Ron Chaya
https://www.youtube.com/watch?v=hbJR8LmSL9U
Gog Oumagog, la dernière guerre - Rav R Chaya 17/6/2017
https://www.youtube.com/watch?v=Umcd6xUHMFM
Le Vatican envisage une excommunication des mafieux et corrompus
18/6/2017
Le Vatican réfléchit à une mesure pour excommunier tous les mafieux et corrompus, quel que soit leur pays d'appartenance, indique dimanche la presse italienne à l'issue d'une réunion internationale qui s'est tenue au Saint-Siège.
Un groupe d'une cinquantaine de personnes de plusieurs pays, hauts prélats, magistrats, diplomates, policiers de haut rang, s'était réuni au Vatican dans le cadre d'un "Débat international sur la corruption". Ce groupe "travaille à l'élaboration d'un document conjoint qui établira les travaux successifs et les futures initiatives", indique un communiqué.
"Parmi ces dernières, il faut signaler pour le moment la nécessité d'approfondir, au niveau international et de la doctrine juridique de l'Église, la question relative à l'excommunication pour corruption et association mafieuse", conclut le communiqué. Le pape François avait déjà excommunié en juin 2014 la 'Ndrangheta, la puissante mafia calabraise, lors d'une visite dans cette région du sud de l'Italie, mais les relations entre l'Église et le crime organisé ont été souvent ambigües: patronage de processions par des mafieux, liens ou tentatives d'influencer certains prélats, détournement de ressources d'institutions et d'oeuvres caritatives, achat dans le passé de biens immobiliers du Vatican... Des évêques locaux avaient également excommunié des mafieux siciliens ou de Campanie, la région de Naples, mais il manque à l'Église catholique un document juridique d'une valeur universelle.
"Nous nous sommes demandés pourquoi le reste de l'Italie et du monde ne devrait pas avoir les mêmes règles. Le groupe (d'experts, ndlr) a ainsi soulevé le problèmes des narcos colombiens et mexicains: nous avons donc besoin d'un 'décret pénal', un acte juridique, formel, à l'échelle nationale et mondiale", a déclaré à La Stampa Mgr Michele Pennisi, archevêque de Monreale, en Sicile, et membre du groupe de travail. La décision du Vatican d'envisager l'excommunication "est un signal très important", assure dans le même quotidien Federico Cafiero de Raho, procureur général de Reggio di Calabria, la capitale de la Calabre.
"L'Église a un poids important ici. Et prendre les distances de la 'Ndrangheta signifie l'isoler et ce n'est pas rien", a-t-il dit. Le quotidien La Repubblica affirme qu'il s'agit d'un "tournant historique" car il met sur le même plan les corrompus et les mafieux, rappelant que l'excommunication est la peine plus sévère envisagée par l'Église catholique à l'encontre de ses membres.
La banque du Vatican double ses bénéfices: 36 millions d'euros en 2016
12/6/2017
L'Institut pour les oeuvres de la religion (IOR), plus connu comme la banque du Vatican ou la banque des papes, a enregistré un bénéfice net de 36 millions d'euros en 2016, contre 16,1 millions en 2015, indique lundi un communiqué.
"Ce résultat de gestion a été obtenu à travers une activité de négociation efficace, dans un contexte de grande volatilité des marchés, d'instabilité politique due aux issues inattendues des principaux événements électoraux de l'année et de taux d'intérêts bas", se félicité l'IOR dans ce communiqué.
La banque assure avoir continué en 2016 "à servir avec prudence et offrir des services financiers spécialisés à l'Eglise catholique dans le monde entier".
L'IOR comptait ainsi en 2016 environ 15.000 clients, essentiellement des religieux, des congrégations et des employés du Vatican, et gérait au 31 décembre de l'année 5,7 milliards d'euros.
La banque a été gangrenée dans le passé par les scandales et accusée d'avoir été utilisée par la mafia, mais un grand nettoyage a été lancé par le pape Benoît XVI et poursuivi par son successeur François.
Il s'est achevé fin 2015 avec la fermeture de près de 5.000 comptes.
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La Russie fustige le changement de politique de Trump envers Cuba 18/6/2017
Le ministère des Affaires étrangères russe a déclaré dimanche regretter le changement de cap dans la politique envers Cuba du nouveau président américain Donald Trump, une réminiscence selon lui de la "rhétorique" de la Guerre Froide.
"La nouvelle ligne envers Cuba annoncée par le président américain Donald Trump nous ramène à la rhétorique déjà à moitié oubliée de l'époque de la Guerre Froide", a déclaré le ministère dans un communiqué sur son site internet.
Donald Trump a juré vendredi de réviser l'accord, conclu par son prédécesseur Barack Obama, qui vise à restaurer des liens entre Cuba et les Etats-Unis, promettant à la place un soutien aux Cubains opposés au gouvernement de Raul Castro.
Moscou estime que le changement de politique de Trump montre que "le discours anti-cubain est encore largement présent. Cela ne peut que susciter des regrets." Pour le ministère, l'assouplissement des sanctions adopté sous Barack Obama était "une décision politique bien pensée où il n'y avait pas de perdant excepté quelques opposants de Castro."
La Russie a réaffirmé son "inébranlable solidarité avec Cuba".
Le président Raul Castro s'est rendu en Russie en 2015. L'année précédente, Vladimir Poutine avait effectué une visite dans l'île lors d'un tour en Amérique latine où il avait rencontré à la fois le président Raoul Castro et le chef révolutionnaire Fidel Castro, décédé l'année dernière.
Embargo des États-Unis contre Cuba — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Embargo_des_États-Unis_contre_CubaL'embargo des États-Unis contre Cuba décrit à Cuba par le terme espagnol el bloqueo qui .... Le 6 avril 1960 , Lester D. Mallory, sous-secrétaire d'État adjoint aux Affaires interaméricaines affirma que « la majorité des Cubains soutenait Castro ...
Avant l'embargo · Embargo · Motivations de l'embargo · Effets de l'embargo
Levée de l'embargo contre Cuba : pour la première fois, les Etats-Unis ...
www.lemonde.fr/.../levee-de-l-embargo-contre-cuba-pour-la-premiere-fois-les-etats-unis...
26 oct. 2016 - Lors du vote annuel de l'Assemblée générale des Nations unies sur l'embargo américain imposé à Cuba depuis cinquante-quatre ans, les ...
Il y a cinquante ans, les États-Unis décrétaient le blocus de Cuba ...
www.investigaction.net/Il-y-a-cinquante-ans-les-Etats/
Embargo » ou « blocus », on a là un véritable état de siège interminable, ... Aucune entreprise, souspeine de sanctions, ne peut exporter à Cuba des ...
https://fr.wikipedia.org/wiki/Embargo_des_%C3%89tats-Unis_contre_Cuba
Embargo des États-Unis contre Cuba
L'embargo des États-Unis contre Cuba décrit à Cuba par le terme espagnol el bloqueo qui signifie « le blocus » est un embargo économique, commercial et financier à l'égard de Cuba par les États-Unis mis en place le à la suite de nationalisations expropriant des compagnies américaines. Jusqu'en 2016, l'embargo est officiellement toujours en place, ce qui en fait le plus long embargo commercial de l'époque contemporaine. Cependant, depuis le début des années 2000, les exportations de produits alimentaires et de médicaments sont redevenues légales, bien qu’encore soumises à de lourdes restrictions1,2. Les États-Unis sont ainsi redevenus les premiers fournisseurs de produits alimentaires de Cuba3 et assurent entre 35 et 45 % des importations de nourriture de l'île4.
L'embargo demeure un sujet particulièrement controversé : la controverse est notamment alimentée par l'emploi, à la place d'« embargo », du mot « blocus » par les partisans de Cuba. Ce dernier terme est parfois repris par l'Assemblée générale des Nations unies5, qui a condamné en 2009 pour la 18e fois le « blocus » dans le communiqué version française et l'« embargo »dans la version anglaise, par 187 voix contre 36.
L'Union européenne est opposée à l'embargo car il affecte ses propres relations commerciales, elle soutient en revanche « un processus de transition progressif et pluraliste et qui permette d'améliorer le niveau de vie des Cubains »7.
Les pertes occasionnées par l’embargo à l’économie cubaine s’élevaient en 2014 à plus de 116 milliards de dollars8.
Avant l'embargo
Les États-Unis et Cuba ont des liens géographiques, économiques et historiques étroits. Cuba fut une colonie espagnole pendant 400 ans, et les nombreuses luttes pour l'indépendance de cette période culminèrent avec la guerre de Dix Ans (1868-1878) et la guerre d'indépendance cubaine (1895-1898). Durant ces derniers évènements, une explosion aux origines controversées détruit l'USS Maine, un navire de guerre de l'US Navy qui était alors ancré dans la baie de La Havane, causant également la mort de plusieurs hommes d'équipage. Ce drame permet aux États-Unis d'entrer dans une guerre contre l'Espagne (accusé d'être derrière un éventuel sabotage), durant laquelle un corps expéditionnaire américain de 17 000 hommes débarqua sur l'île le 20 juin 1898, appuyé en mer par la Marine. La guerre hispano-américaine se termine par la défaite des Espagnols qui sont contraints de reconnaitre l'indépendance de Cuba par le traité de Paris.
En dépit de la déclaration d'indépendance de Cuba, les Américains occupent l'île de Cuba durant cinq années qui suivent. Bien qu'ils évacuent l'île en 1902, l'amendement Platt, sous le prétexte que les États-Unis se portent garants de la constitution cubaine, leur accorde le droit d’intervenir dans les affaires de Cuba en cas "d'effondrement constitutionnel". Afin de remplir cette mission, ils conservent donc des bases navales : Guantánamo et Bahía Honda. Les États-Unis gardèrent des rapports privilégiés avec l'île en investissant dans la production de sucre et de tabac qu'ils achetaient à bas prix, dans le tourisme ainsi qu'en concédant diverses préférences aux importations cubaines. De ce fait, Cuba considère la période qui va de 1899 à 1902 comme une occupation militaire, et celle de 1902 à 1958 comme une période néo-coloniale9.
Le gouvernement des États-Unis a initialement soutenu la révolution cubaine, pensant qu'elle n'était pas forcément d'orientation marxiste. Washington reconnait alors le nouveau gouvernement de Manuel Urrutia le , après la fuite de Batista le 1er janvier. Cependant, les relations entre les deux États se sont très vite détériorées. Fidel Castro, qui ne cachait pas son antipathie contre les États-Unis, est désigné Premier ministre en février 1959 et opère un rapprochement avec l'Union soviétique.
Le , un rapport de la Banque nationale de Cuba consigne le dépôt dans des banques nord-américaines de 424 millions de dollars retirés de la Banque centrale cubaine par l'entourage de Batista juste avant sa fuite. Pas un seul centime n’a été restitué par les banques américaines. Ce qui n'empêche pas, six jours plus tard le , le Conseil National de Sécurité des États-Unis de refuser un crédit sollicité par la Banque Nationale de Cuba pour soutenir la monnaie cubaine.
Le nouveau gouvernement procéda à une nationalisation le : la loi de Réforme Agraire est décrétée. Elle nationalise toute propriété de plus de 420 hectares pour les redistribuer aux paysans, aux locataires et aux sans-terre10. De nombreuses propriétés appartenant à des citoyens ou des sociétés nord-américaines furent ainsi nationalisées sans compensation.
Le , le département d’État convoque une réunion pour informer qu’il « appartenait au gouvernement des États-Unis d’assumer immédiatement une position très ferme à l’encontre de la Loi de Réforme agraire et de sa mise en œuvre » et que « la meilleure manière d’atteindre le résultat nécessaire était la pression économique ». Pour la première fois est envisagée la suppression de la quote-part de sucre (voir plus bas).
Le , l'Union soviétique signe un accord commercial avec Cuba.
Le , Lester D. Mallory, sous-secrétaire d’État adjoint aux Affaires interaméricaines affirma que « la majorité des Cubains soutenait Castro » et qu’il « n’existait pas une opposition politique effective », en ajoutant que « le seul moyen prévisible de réduire le soutien interne passait par le désenchantement et le découragement basés sur l’insatisfaction et les difficultés économiques (…) Tout moyen pour affaiblir la vie économique de Cuba doit être utilisé rapidement (…) : refuser de faire crédit et d’approvisionner Cuba pour diminuer les salaires réels et monétaires dans le but de provoquer la faim, le désespoir et le renversement du gouvernement. »
En , les multinationales Esso, Texaco et Shell, à la demande du gouvernement américain, décident de limiter les exportations de combustibles vers Cuba. En , trois raffineries (Texaco, Shell et Esso) refusent de traiter le pétrole importé d'Union soviétique. Fidel Castro les fera saisir.
Le , les États-Unis refusent d'acheter le reliquat du quota sucrier cubain (700 000 tonnes d'une denrée traditionnellement vendue sur ce marché et vitale pour l'économie cubaine). L'URSS se porte acquéreur. Après l'échec de négociations menées avec la médiation du président argentin Arturo Frondizi (UCR), Cuba nationalise 36 centrales sucrières, les raffineries et la compagnie des téléphones.
Fidel Castro à l'Assemblée générale des Nations unies le
Le , le gouvernement des États-Unis annonce la suspension des opérations de l'usine de nickel Nicaro, détenue par le gouvernement de ce pays.
Le sont promulguées des mesures générales interdisant les exportations américaines vers Cuba. Exceptions faites de la nourriture, des médicaments et des équipements médicaux qui ne sont pas couverts par des subventions.
Le : Eisenhower supprime totalement la quote-part de sucre cubain pour les trois premiers mois de 1961.
Le , les États-Unis rompent leurs relations diplomatiques avec Cuba.
Le , le nouveau président Kennedy supprime totalement la quote-part de sucre cubain sur le marché nord-américain pour l’année 1961 (3 millions de tonnes).
Avril 1961 est marqué par un raid aérien américain contre les aéroports de la Havane et Santiago suivi du débarquement de 1 500 mercenaires à la baie des Cochons. Cette opération armée échoue en 72 heures du fait de la résistance cubaine.
Embargo[modifier | modifier le code]
Le , l'Organisation des États américains (OEA), par 14 voix contre 6 (Argentine, Bolivie, Brésil, Chili, Équateur, Mexique), exclut Cuba. Toutes les relations commerciales, diplomatiques et aériennes entre l'île et les autres pays du continent sont rompues (sauf avec le Mexique et le Canada). L'embargo est partagé par les alliés occidentaux des États-Unis, sauf entre autres par le Canada, la France et l'Espagne. Cuba est presque totalement isolé. L'Union soviétique augmenta alors son aide financière à Cuba.
En réponse au rapprochement de Cuba de l'Union soviétique pendant la guerre froide et après la crise des missiles et la vague de nationalisations11, le président John F. Kennedy a étendu les sanctions en élargissant le champ des restrictions commerciales. Le , par l’ordre exécutif présidentiel 3447, est mis en œuvre formellement l’« embargo » total du commerce entre les États-Unis et Cuba. Kennedy a imposé des restrictions aux voyages vers l'île. Le , le département du Trésor nord-américain annonce l’interdiction de l’entrée sur le territoire nord-américain de tout produit élaboré, totalement ou partiellement, avec des produits d’origine cubaine, même dans un pays tiers. En juillet 1963 entre en vigueur le règlement pour le contrôle des actifs cubains qui interdit toutes les transactions avec Cuba et ordonne le gel des avoirs de l’État cubain aux États-Unis. En mai 1964, le département du Commerce établit l’interdiction totale des embarcations d’aliments à destination de Cuba, bien que dans la pratique celles-ci ne s’effectuaient déjà plus. A l'été 1975 l'interdiction faite en février 1962 aux pays de l'OEA de commercer avec Cuba fut levée après accord du président américain Gérald Ford.
Sous la présidence démocrate de Jimmy Carter, les Américains d'origine cubaine furent autorisés à aller à Cuba entre septembre 1977 et avril 19821.
L'embargo américain de 1962 fut renforcé en octobre 1992 (loi Torricelli) puis en 1996 (loi Helms-Burton). Alors que les États-Unis cherchaient à cette époque à normaliser leurs relations commerciales avec les autres pays communistes, tels que la Chine et le Viêt Nam, un important lobbying des Cubains exilés aux États-Unis favorisa le maintien et l'extension des sanctions.
En 1998, le président américain Bill Clinton déclara que Cuba n’était plus une menace pour les États-Unis et assouplit l’embargo11. L'interdiction des ventes alimentaires a été levée en 200012. Le montant des exportations américaines vers Cuba s’élève en 2007 à 500 millions de dollars par an12.
En 2002 et en 2006, le gouvernement américain a fait des propositions pour arrêter l'embargo, à la condition d'une transition démocratique dans l'île13. Ces propos furent alors jugés très provocateurs par le gouvernement cubain14, indiquant que George W. Bush était « mal placé pour donner des leçons de démocratie ». En 2006, les États-Unis sont les premiers fournisseurs de produits alimentaires de Cuba3. En 2008, entre 35 à 45 % des importations alimentaires à Cuba viennent des États-Unis, qui sont devenus les premiers fournisseurs de nourriture de l'île4.
Le 6 mai 2004, de nouvelles restrictions furent imposées aux déplacements d'hommes et d'argent vers l'île15, [réf. insuffisante], mais également à la coopération scientifique entre chercheurs américains et cubains16[réf. insuffisante]. Les échanges entre les bibliothèques scientifiques des deux pays, la publication d'ouvrages cubains aux États-Unis, et les visas accordés aux chercheurs devinrent fortement règlementés16.
L'embargo a été une nouvelle fois assoupli sous la présidence de Barack Obama : en mars 2009, le Congrès autorise les citoyens américains d'origine cubaine à se rendre à Cuba une fois par an1 ; puis, le , le président annonce la fin des restrictions sur les voyages et les transferts d'argent des Américano-Cubains vers l'île1. Il est alors encore interdit d'envoyer de l'argent à des membres de la fonction publique ou de l'armée cubaine1.
En 2009, le département du Trésor des États-Unis a ordonné la fermeture de plus de 80 sites Internet qui faisaient du commerce avec Cuba.
En , le président Obama autorise par ordre exécutif les résidents américains à voyager à Cuba et hausse le plafond imposé aux investisseurs dans le pays17. Il est de nouveau possible d'envoyer de l'argent (jusqu'à 500 $ par trimestre) à des cubains, à l'exception des hauts fonctionnaires et des dirigeants du Parti communiste.
En octobre 2016, des mesures supplémentaires d'allègement de l'embargo sont décrétées par le président des États-Unis, Barack Obama. Ces allègements permettent davantage d'échanges dans les secteurs de la recherche, de la médecine, ainsi que dans l'importation de tabac, de rhum et dans le commerce de marchandises cubaines via un pays tiers18.
Motivations de l'embargo[modifier | modifier le code]
De nombreux observateurs de Cuba accusent son gouvernement de violations répétées des droits de l'homme, tandis que d'autres affirment que celui-ci a fait davantage pour le développement des droits humains, à Cuba et à l'étranger, qu'aucun autre pays (c'est le cas de Adolfo Pérez Esquivel19). Ainsi, le rédacteur en chef du journal Le Monde Bertrand Le Gendre écrit-il : « les prémices [du castrisme] portaient pourtant en germe une vérité déprimante : le castrisme est un totalitarisme »20. Ils reprochent aussi à Fidel Castro de contrôler son gouvernement grâce au contrôle qu'il exerce sur l'armée et d'avoir réprimé sévèrement les opposants au régime. Ainsi, selon Le Livre noir du communisme, sur une population de 11 millions d'habitants, plus de 100 000 Cubains ont connu depuis 1959 les camps et les prisons en raison de leurs opinions, et de 15 000 à 17 000 personnes ont été fusillées. Pour les États-Unis et une partie des anti-castristes, l'embargo est la réplique à apporter aux violations des droits de l'homme dont ils accusent l'État cubain. Les défenseurs de Cuba répliquent que les États-Unis n'ont pas eu le même souci de la défense des droits de l'homme dans les autres pays d'Amérique latine également soumis à la dictature (Argentine, Brésil, Chili, etc.)
En 1960, Lester D. Mallory, alors sous-secrétaire d'État assistant aux Affaires inter-américaines des États-Unis, écrivit dans un mémorandum que la seule façon de renverser Castro était de provoquer « la faim et le désespoir » parmi les Cubains, afin de les pousser à « renverser le gouvernement », soutenu par « la majorité des Cubains ». Il déclare que, dans cet objectif, le gouvernement américain doit utiliser « tous les moyens possibles pour miner la vie économique de Cuba »21.
Reporters sans frontières ajoute que « Cuba tient toujours son rang de deuxième prison du monde pour les journalistes »22. D'autres journalistes, comme Salim Lamrani, ou l'un des membres fondateurs de Reporters sans frontières l'ayant quitté depuis, Rony Brauman, remettent toutefois en cause la neutralité et l'indépendance de cette organisation. Des 24 (ou 19, selon la version) journalistes recensés par l'ONG comme emprisonnés à Cuba, 1 seul disposait d'une formation journalistique, et les causes réelles de leurs détentions - ce que reconnait RSF - sont les financements reçus des États-Unis pour la réalisation " d'activités subversives "23, tandis que plus aucun journaliste n'aurait été assassiné à Cuba depuis 195824. Le département d'État américain pointe des violations des droits de l'homme dans de nombreux domaines à Cuba, mais note qu'elles sont difficiles à documenter du fait qu'aucune association ne peut travailler à Cuba sans être reconnue par le gouvernement de l'île. D'après des sources officielles cubaines, 75 personnes que le département d'État américain appelle « activistes des droits de l'homme » furent arrêtées en mars 2003, puis condamnées pour avoir, d'après les chefs d'accusation, « nui à la souveraineté de l’État national au profit d’une puissance étrangère », et reçu de l'argent du gouvernement américain pour cela25. 14 d'entre elles furent relâchés à fin 2004. En juin 2004, des membres de l'Union européenne imposèrent des mesures de restriction envers Cuba. Ces restrictions furent levées en janvier 2005 dans un effort pour réengager le régime à poursuivre la politique européenne encourageant les reformes tout en préparant la transition.
Le gouvernement cubain contrevient à la liberté de culte en favorisant les communautés religieuses qui sont membres du Conseil des Églises cubaines et que ces communautés religieuses n'ont pas libre accès à la presse. Les groupes non enregistrés sont en butte à différents degrés d'interférences et de répression officielle[réf. nécessaire].
Les partisans du blocus sont majoritaires parmi les exilés cubains de Floride. Cette communauté, forte d'1,5 million d'habitants, vivant majoritairement dans la région de Miami, bénéficie d'une influence politique certaine sur les choix de Washington26.
Effets de l'embargo
Pendant la guerre froide
La réglementation de contrôle sur les actifs cubains (Cuban Assets Control Regulations) impose des restrictions sur les importations et les exportations entre Cuba et les États-Unis (cadeaux en nature ou en argent inclus) et sur les autres transactions avec Cuba ou avec des ressortissants cubains. Elle impose un gel total des actifs cubains et des transactions financières entre l'île et les États-Unis. Elle restreint enfin le voyage vers Cuba. En 2004, les restrictions sont toujours en place et sont mises en œuvre par le Service de contrôle des actifs étrangers du Trésor (Office of Foreign Assets Control). Des peines de prison d'au plus dix années de réclusion sont prévues en cas de non-respect de l'embargo et l'amende peut atteindre un million de dollars pour les entreprises et 250 000 dollars pour les particuliers.
En 1958, les États-Unis représentaient 67 % des exportations cubaines et 70 % de ses importations. De son côté, Cuba représentait 3 % des exportations américaines et 4 % de ses importations, plaçant l'île à la septième place pour les exportations et les importations. Dès les premières années de l'embargo, le commerce officiel entre les deux pays a été totalement éliminé.
Le gouvernement cubain évalue l'effet total de l'embargo à 70 milliards de dollars réduisant la croissance, en prenant en compte les revenus issus des exportations perdues, les coûts supplémentaires des importations (l'île aurait pu acheter des produits américains moins chers). De son côté, la commission du commerce international des États-Unis (U.S. International Trade Commission) estime une perte annuelle de 1,2 milliard de dollars pour les exportateurs. Néanmoins, l'embargo a eu un effet limité sur Cuba durant les premières décennies car l'île bénéficiait du soutien de l'Union soviétique et des pays du CAEMqui lui fournissaient carburant, biens de consommation et subventions en échange de sucre et de nickel. Pour la seule année 1980, Cuba reçut environ 6 milliards. Cuba avait aussi accès aux marchés des pays soviétiques pour exporter ses produits (principalement le sucre et le nickel).
Une des manifestations les plus visibles de l'embargo est la quasi-absence d'automobiles dans les rues de La Havane, la capitale.
En entraînant un arrêt de son soutien économique à Cuba, l'effondrement du bloc de l'Est en 1989 et de l'Union soviétique deux ans plus tard a révélé l'impact des effets de l'embargo américain : cet arrêt a été rapidement suivi par une crise économique à Cuba.
À la fin du xxe siècle
Étagères dégarnies dans un petit magasin de la vallée de Viñales(janvier 2015)
Cuba a dès lors diversifié ses relations commerciales avec le reste du monde. Malgré les difficultés créées par l'embargo dans les années 1990, Cuba ne s'est pas effondré, comme le supposaient certaines conjectures formulées lors de la fin de l'Union soviétique.
En 1999, les exportations officielles américaines vers l'île s'élèvent à 4,7 milliards de dollars, constituées principalement d'aide médicale et d'autres dons caritatifs. Cuba est 180e sur 180 dans la liste des importateurs de produits agricoles américains en 2000. À la suite des allègements des sanctions depuis 200027, Cuba est 138e en 2001, 45een 2002 et autour de la 33e place en 2003.
xxie siècle : l'assouplissement de l'embargo
Alors que le président américain George W. Bush avait renforcé l'embargo américain sur Cuba sous sa présidence, Barack Obama l'assouplit en 2008. Les 1,5 million d'Américains d'origine cubaine peuvent ainsi voyager à Cuba (600 000 s'y rendent chaque année, participant à l'économie locale). En 2009, Obama libéralise les virements bancaires vers l'île (les « remesas »), supprimant notamment les plafonds (en 2008, on évalue à 1 milliard de dollars le montant de l'argent envoyé par les Américains d'origine cubaine, contre 3 milliards en 2013). Les Cubains ont également désormais le droit de quitter le pays. En 2012, les États-Unis sont le premier fournisseur de biens alimentaires et agricoles à Cuba, ces secteurs n'étant pas concernés par l'embargo28.
Le , les deux pays annoncent conjointement la reprise de leurs relations diplomatiques, impliquant un assouplissement de l'embargo américain sur Cuba29. Les relations entre Washington et La Havane s'effectuent via la United States Interests Section in Havana (en) dans la capitale cubaine et Sección de Intereses de la República de Cuba (es) dans la capitale américaine.
Commerce entre les deux nations
Le 30 mai 2007, selon le directeur général d'Alimport (Cuban Food Imports Company), Pedro Alvarez, le volume total du commerce américano-cubain a atteint 2,4 milliards de dollars et l'importation de produits agricoles a atteint 7,8 millions de tonnes, incluant le riz, les haricots, le maïs, les céréales, les œufs et le poulet.
Les États-Unis sont le troisième fournisseur de Cuba avec 11 % des importations en 200630. En 1998, le président américain Bill Clinton déclara que Cuba n’était plus une menace pour les États-Unis et assouplit l’embargo11. Depuis 2001, à la suite de l'allègement de l'embargo, les sociétés américaines peuvent vendre certains produits agroalimentaires et des médicaments à Cuba. La plupart des importations agroalimentaires à Cuba viennent des États-Unis31. Le gouvernement américain a autorisé la mise en vente aux États-Unis de deux vaccins élaborés à Cuba, devenu un grand exportateur de médicaments génériques32. Washington possède une Section d’intérêts des États-Unis à La Havane31. Enfin, les Cubains exilés en Floride envoient sur l'île des Remesas, c'est-à-dire de l'argent sous forme de mandats. Après avoir été légalisé comme les autres monnaies étrangères en août 1993, le dollar américain a été interdit de nouveau en 200411.
Le Département de la Défense a, durant l’année fiscale 2011, effectué pour 1,9 million de dollars d'achat à Cuba33.
Critiques
Un bus à La Havane portant un slogan contre l'embargo
De nombreuses voix dans la communauté internationale s'élèvent contre cet embargo. Ainsi à l'Assemblée générale des Nations unies, de nombreuses résolutions proposant aux États-Unis de cesser leur embargo sur Cuba ont été votées, à une très large majorité. En 2013, seuls deux États, les États-Unis et Israël, sur plus de 190 ont voté contre la résolution demandant la fin totale de l'embargo
Année | Date | Pour | Contre | Abstention | Votant contre |
---|---|---|---|---|---|
1992 | 24 novembre | 59 | 2 | 71 | États-Unis, Israël |
1993 | 3 novembre | 88 | 4 | 57 | États-Unis, Israël, Albanie, Paraguay |
1994 | 26 octobre | 101 | 2 | 48 | États-Unis, Israël |
1995 | 2 novembre | 117 | 3 | 38 | États-Unis, Israël, Ouzbékistan |
1996 | 12 novembre | 138 | 3 | 25 | États-Unis, Israël, Ouzbékistan |
1997 | Octobre | 143 | 3 | 17 | États-Unis, Israël, Ouzbékistan |
1998 | Octobre | 157 | 2 | 12 | États-Unis, Israël |
1999 | Novembre | 155 | 2 | 8 | États-Unis, Israël |
2000 | Novembre | 167 | 3 | 4 | États-Unis, Israël, Îles Marshall |
2001 | Novembre | 167 | 3 | 3 | États-Unis, Israël, Îles Marshall |
2002 | Novembre | 173 | 3 | 4 | États-Unis, Israël, Îles Marshall |
2003 | Novembre | 179 | 3 | 2 | États-Unis, Israël, Îles Marshall |
2004 | Octobre | 179 | 4 | 1 | États-Unis, Israël, Îles Marshall, Palaos |
2005 | Novembre | 182 | 4 | 1 | États-Unis, Israël, Îles Marshall, Palaos |
201334 | Octobre | 188 | 2 | 5 | États-Unis, Israël |
De nombreux intellectuels et personnalités réclament l'abandon de cet embargo. On citera notamment :
- Ramsey Clark (ex-secrétaire à la Justice des États-Unis) : « Le gouvernement des États-Unis est seul, défiant la volonté des nations du monde, dans la mise en œuvre de ce crime contre l'humanité. Il agit dans l'intérêt d'une poignée de groupes économiques qui veulent s'approprier les richesses de Cuba et appauvrir le peuple cubain dont la révolution apporta la santé, les libéra de la misère et apporta aussi une éducation universelle partagée avec les pauvres de la planète. Cessez cette honte.» Ramsey Clark on the Fiftieth Anniversary of the Universal Declaration of Human Rights
- Alice Walker (Pasteurs pour la Paix – États-Unis) : « De ce pays [les États-Unis] gonflé de richesses matérielles et intellectuellement misérable, où il y a tant de sans-abris et d'affamés, j'ai pu admirer la lutte de Cuba pour partager ses maigres ressources afin que chacun puisse retrouver sa dignité. Cuba est admiré dans le monde entier parce que les cubains ont démontré un amour, un engagement et un sens du sacrifice pour tout ce qui – les êtres comme la planète – est opprimé, pour tout ce qui souffre. Aujourd'hui, à l'heure où souffre à son tour Cuba, il est temps d'agir. »
- José Saramago, Prix Nobel de littérature 1998 : « S’il est au monde un pays, ou il est véritablement possible d’être humain, Cuba est ce pays. Bien qu’elle soit passée par toutes sortes de bouleversements, de circonstances implacablement négatives, depuis la domination coloniale jusqu’aux harcèlements qu’elle subit aujourd’hui, l’histoire cubaine garde une racine intacte, que l’on ne peut arracher et qui toujours continue de fleurir. Pour cette raison, je dis que Cuba est un état d’esprit. Que l’on peut être Cubain sans être né à Cuba. Et qu’en ce sens, je suis Cubain. »
De même l'ONG, Reporters sans frontières est intervenue en 2010 sur l'embargo des États-Unis contre Cuba et demande que « soit levé l'embargo absurde imposé à l'île depuis 1962 par les États-Unis »35.
Face à ces critiques largement partagées par l'opinion publique mondiale, comme le prouvent les votes à l'ONU, l'État américain, par l'intermédiaire de son représentant à l'assemblée générale des Nations unies déclare que « Cuba affirme que les sanctions économiques imposées par les États-Unis au Gouvernement cubain causent de sérieux préjudices au peuple cubain. En fait, [...] la politique commerciale des États-Unis à l’égard de Cuba est soigneusement étudiée pour permettre aux Cubains d’accéder aux denrées alimentaires et aux secours humanitaires tout en limitant la capacité du Gouvernement répressif de Cuba à tirer parti de son contrôle autoritaire de l’économie cubaine pour consolider son pouvoir. [...] De fait, les Américains restent les principaux pourvoyeurs d’aide humanitaire au peuple cubain. En 2007, ils ont donné 240,5 millions de dollars au titre de l’aide humanitaire privée. [...] À la suite des dégâts causés par l’ouragan Ike, le Gouvernement des États-Unis a mis en réserve 200 000 dollars supplémentaires pour les organisations non gouvernementales de secours et a réaffirmé notre offre de fournir une équipe d’évaluation humanitaire. Encore une fois, le Gouvernement cubain a rejeté notre offre. »36
L'UE prolonge ses sanctions contre la Russie 19/6/2017
L'Union européenne a reconduit lundi pour un an des sanctions décidées après l'annexion de la Crimée par la Russie en mars 2014, qui interdisent notamment les investissements dans la péninsule et les importations vers l'Union de ses produits.
Les 28 pays de l'UE doivent par ailleurs reconduire dans les semaines à venir leurs lourdes sanctions économiques contre la Russie, touchant notamment des banques, entreprises pétrolières et de défense, décrétées à l'été 2014 en réaction au soutien présumé de Moscou à l'offensive de rebelles séparatistes dans l'est de l'Ukraine. Ce sujet devrait être abordé par les chefs d'Etat et de gouvernement européens lors de leur sommet jeudi et vendredi à Bruxelles, alors que le conflit, qui a fait plus de 10.000 morts en trois ans, a repris en intensité ce printemps.
Le président français Emmanuel Macron et la chancelière allemande Angela Merkel, dont les pays ont parrainé les accords de Minsk censés mettre fin au conflit, devraient informer leurs homologues de la situation sur le terrain et "recommander" un renouvellement de ces sanctions, selon une source diplomatique.
"Liste noire"
Ces lourdes sanctions qui ont durablement empoisonné les relations entre Bruxelles et Moscou ont toujours été prolongées par périodes de six mois. Elles visent également près de 150 personnalités, dont des proches du président Vladimir Poutine, inscrites sur la "liste noire" de l'UE, ce qui leur interdit tout visa pour un pays de l'Union et gèle leurs fonds déposés dans des banques européennes.
Les sanctions concernant la Crimée, péninsule ukrainienne dont les Européens refusent de reconnaître l'annexion qu'ils jugent "illégale" par la Russie, ont été prolongées ce lundi jusqu'au 23 juin 2018. "Les mesures s'appliquent aux ressortissants de l'UE et aux entreprises établies dans l'UE. Elles sont limitées au territoire de la Crimée et de Sébastopol", a indiqué le Conseil, qui représente les 28 Etats membres, dans un communiqué.
Elles concernent notamment "l'importation de produits originaires de Crimée ou de Sébastopol dans l'UE" et "les investissements en Crimée ou à Sébastopol". Aucun Européen ni aucune société établie dans l'UE ne peut ainsi y acquérir des biens immobiliers ou y financer des sociétés. Les activités touristiques en Crimée ou à Sébastopol sont interdites, et les navires de croisière européens "ne peuvent pas faire escale dans les ports de la péninsule de Crimée, sauf en cas d'urgence".
L'Ukraine salue, Moscou proteste
Le président ukrainien Petro Porochenko a salué la décision sur son compte Twitter, tout en demandant que Bruxelles en fasse davantage pour punir Moscou. "Le prix (que la Russie doit payer, ndlr) pour cette tentative d'annexion doit augmenter", a-t-il écrit.
Comme à chaque renouvellement des sanctions européennes, le Kremlin a de son côté protesté. "Nous ne les considérons pas comme légitimes", a expliqué son porte-parole Dmitri Peskov. "Ces sanctions portent préjudice non seulement à nous, mais aussi aux pays qui en sont initiateurs", a-t-il jugé.
Le Pape François au président Vladimir Poutine
vendredi 8 juillet 2016
LE MÉDAILLON DE L’ANGE DE LA PAIX
Au moment où les tensions montent au Moyen-Orient, en Mer de Chine et sur la Mer Noire et que les divers intervenants durcissent le ton, j’ai voulu en savoir un peu plus sur ce médaillon de l’Ange de la paix que le pape François a remis au président Vladimir Poutine, lors de sa visite au Vatican, le 25 novembre dernier. Ce choix très particulier d’un médaillon peu connu était porteur, à n’en pas douter, d’un message que nous qualifierons, un jour, de prophétique. En lui remettant ce médaillon de l’Ange de la paix, le pape François a eu ces paroles : « C'est l'Ange qui vainc toutes les guerres et parle de solidarité entre tous les peuples".
Il nous est difficile en Occident, soumis à une information qui fait de Vladimir Poutine un Tsar conquérant, aux ambitions illimitées, déterminé à conquérir l’Europe et l’Amérique de voir en cet homme tout le charisme dont il est porteur. On en fait l’auteur d’à peu près tous les problèmes qui existent ou qui surgissent ici et là. Il va de soi, qu’avec un tel portrait, on ait de la difficulté à comprendre le geste du pape François à l’endroit de ce Président, diabolisé par l’Occident. Il faut croire que le pape François n’est pas dépendant d’une seule source d’information et qu’il sait décoder les messages qui lui sont destinés.
Je regarde cette photo et j’y vois deux hommes dont le destin est de faire basculer l’Humanité d’un monde individualiste et refermé sur lui-même vers un monde de solidarité et d’ouverture. Le Pape François, avec son Église, s’attaque aux colonnes du temple de pierre et à tout ce qui en fait un centre de pouvoir hiérarchique, centralisé et dominant, pour en faire une Église de chair, décentralisée, faite de solidarité, de justice, de vérité et de compassion. Le président Vladimir Poutine, pour sa part, s’attaque à un monde unipolaire et à tout ce qui le rend possible, pour ouvrir la voie à un monde multipolaire, décentralisé et respectueux du droit des peuples et des personnes.
Dans ce contexte, les paroles du pape François à Vladimir Poutine, au moment de lui remettre le médaillon de l’Ange de la paix, prennent un sens bien particulier. C’est comme s’il confiait Vladimir Poutine à cet Ange qui vainc toutes les guerres et parle de solidarité entre tous les peuples. » De telles paroles ont de quoi réconforter et donner confiance à ce Président dont le destin semble répondre tout autant aux attentes des temps que nous vivons qu’à un destin divin. Il ne faut pas oublier que ces deux hommes partagent unemême foi et une même mission qui vise à rapprocher Dieu de l’Humanité et non l’inverse. C'est ce rappel de l'incarnation du Dieu des chrétiens qui vient à la rencontre de notre humanité.
"Il n'y a aucune raison de refuser l'autorisation du glyphosate" 13/6/2017
"Nous devons renouveler le glyphosate puisqu'il n'y a aucune raison de remettre en question les évaluations basées sur des faits scientifiques", a indiqué mardi après-midi le commissaire européen à la Santé et à la Sécurité alimentaire Vytenis Andriukaitis devant les députés européens réunis à Strasbourg.
Le commissaire européen était interpellé par les eurodéputés sur la décision de la Commission de renouveler pour dix ans l'autorisation de cette substance active du Round up, le pesticide le plus utilisé en Europe.
De plus en plus de voix s'élèvent en Europe pour questionner l'innocuité de cette substance, qu'une étude de l'OMS a qualifiée de potentiellement cancérigène.
L'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) et l'Agence européenne des produits chimiques (ECHA) ont par contre conclu que le glyphosate n'est sans doute pas carcinogène. "Les mêmes conclusions que l'EFSA ont été atteintes par toutes les agences de réglementation des Etats membres", a relevé le commissaire. "Et les mêmes conclusions ont été tirées par les agences japonaise, néo-zélandaise, canadiennes et australienne. Il y a une grande convergence internationale pour dire que le glyphosate n'est pas carcinogène. C'est quand même très étonnant de voir que tant d'organes et d'instances sont d'accord."
Alors que certains eurodéputés réaffirmaient leur soutien à l'agriculture et à la science, d'autres, comme la libérale Frédérique Ries a plaidé pour que la Commission fonctionne à travers le principe de précaution. "Il faut inventer un nouveau modèle et ne plus s'aventurer dans une prolongation temporaire de l'autorisation", a-t-elle affirmé, plaidant pour un "phasing out" de la substance. Elle a également pointé les Etats membres qui "cachent leurs divisions et n'ont pas pris leurs responsabilités".
L'eurodéputé français Eric Andrieu (S&D) a quant à lui estimé que "le renouvellement (de l'autorisation du glyphosate) ne semble pas convenir à la situation du moment", alors que la mobilisation contre la substance grandit en Europe.
L'initiative citoyenne "ban glyphosate", lancée fin janvier, a déjà récolté 980.000 déclarations de soutien dans plus de sept pays européens. Pour qu'une initiative citoyenne soit prise en compte par la Commission européenne, elle doit réunir en un an au moins un million de déclarations de soutien dans au moins sept pays européens.
Tarabella demande une commission d'enquête
L'eurodéputé socialiste Marc Tarabella a quant à lui réitéré sa demande de commission d'enquête pour faire la lumière sur les agissements de Monsanto, l'entreprise qui commercialise le glyphosate.
Mark Demesmaeker (ECR/N-VA) a lui aussi appelé à plus de transparence. "L'an dernier, j'ai voté contre la prolongation de l'autorisation du glyphosate, car il n'y avait pas de consensus scientifique sur la question cruciale de savoir si la substance est cancérigène. J'avais à l'époque plaidé pour plus de transparence et pour une enquête indépendante", a-t-il rappelé mardi après-midi. "Ce point de vue est toujours actuel. Les informations selon lesquelles Monsanto aurait commandé et manipulé des études rendent l'appel à la transparence encore plus prégnant."
En fin de débat, Vytenis Andriukaitis a rappelé que les Etats membres pouvaient toujours décider de la façon dont le glyphosate est utilisé, et qu'ils peuvent même l'interdire, purement et simplement.
Syrie: Les USA réaffirment leurs droits à l'auto-défense, Moscou met en garde
20/6/2017
SYRIE: LES USA RÉAFFIRMENT LEURS DROITS À L'AUTO-DÉFENSE
La Maison blanche a dit lundi que les forces coalisées combattant les militants de l'Etat islamique en Syrie conservaient leurs droits à l'auto-défense après que la Russie a prévenu qu'elle considérait désormais des avions volant dans sa zone d'opérations comme des cibles potentielles.
La tension est montée de plusieurs crans depuis dimanche quand un chasseur américain a abattu un avion de l'armée de l'air syrienne au sud de Rakka, dans l'est de la Syrie, alors qu'il larguait des bombes près d'un groupe des Forces démocratiques syriennes (FDS), des rebelles arabo-kurdes soutenus par les Etats-Unis.
C'est la première fois que Washington mène une telle action depuis le début de la guerre civile syrienne. C'est même la première fois depuis mai 1999 que l'aviation américain abat un aéronef avec pilote.
En réaction à cette action militaire américaine, la Russie, un allié du président syrien Bachar al Assad, a dit que tout avion de la coalition emmenée par l'Etats-Unis qui s'aventurerait à l'Ouest de l'Euphrate était maintenant une cible potentielle.
Moscou a ajouté que tout appareil se retrouvant dans cette zone serait pris en chasse par des systèmes de missile et des appareils militaires. La Russie n'est pas allé jusqu'à dire qu'elle abattrait un tel appareil.
Le ministère de la Défense a également annulé un accord de sécurité aérienne conclu avec les Etats-Unis en Syrie, un texte qui était censé éviter les collisions et des incidents dangereux.
Moscou a accusé Washington de n'avoir pas respecté ce pacte en ne l'informant pas de sa décision d'abattre l'avion syrien malgré la présence dans le même temps d'appareils russes dans les airs.
Les Etats-Unis ont riposté en disant qu'ils feraient "ce que nous pourrons faire pour protéger [leurs] intérêts".
"L'escalade des hostilités parmi les factions présentes dans la région ne sert personne. Et le régime syrien et les autres doivent comprendre que nous conserverons notre droit à l'autodéfense", a dit Sean Spicer, le porte-parole de la Maison blanche.
L'armée américaine a annoncé lundi le "repositionnement" de ses avions dans le ciel syrien pour assurer la sécurité de ses équipages.
La Maison blanche a également dit qu'elle voulait maintenir ouverts les canaux de communication avec la Russie malgré la montée des tensions.
A l'instar des Etats-Unis, l'Iran a également montré ses muscles en lançant des missiles ciblant l'Etat islamique dans l'est de la Syrie, première action militaire de ce type menée par Teheran depuis le début de la guerre civile qui ravage le pays depuis six ans.
Les gardiens de la Révolution avaient tiré dimanche ces missiles sol-sol à partir de l'ouest de l'Iran en représailles aux attentats qui ont fait 18 morts le 7 juin à Téhéran.
(Steve Holland, Phil Stewart et Andrew Osborn, Benoit Van Overstraeten pour le service français)
Allemagne : visite d’Angela Merkel au Vatican
Lutte contre la pauvreté et la faim, terrorisme et climat
https://fr.zenit.org/articles/allemagne-visite-dangela-merkel-au-vatican/
La chancelière fédérale allemande Angela Merkel a été reçue en privé par le pape François durant une quarantaine de minutes, le 17 juin 2017. Parmi les sujets abordés au cours de cette visite au Vatican : la lutte contre la pauvreté et la faim, la menace globale du terrorisme et les changements climatiques.
Angela Merkel a également rencontré le cardinal secrétaire d’Etat Pietro Parolin et Mgr Paul Richard Gallagher, secrétaire pour les relations avec les Etats, a rapporté un communiqué du Saint-Siège par la suite. Durant les échanges, les bonnes relations et la « collaboration fructueuse » entre le Saint-Siège et l’Allemagne ont été soulignées.
Des questions « d’intérêt commun » ont été évoquées, notamment la prochaine réunion du G20 prévue à Hambourg (Allemagne) les 7 et 8 juillet ; ainsi que « la responsabilité de la communauté internationale dans la lutte contre la pauvreté et la faim, la menace globale du terrorisme et les changements climatiques ».
Les entretiens ont également été l’occasion de faire mémoire de l’ancien chancelier allemand, Helmut Kohl, décédé la veille, 16 juin, à l’âge de 87 ans, et de « son œuvre inlassable en faveur de l’Allemagne et de l’unité de l’Europe ».
Au moment du traditionnel échange de cadeaux, Angela Merkel a offert au pape des douceurs typiques argentines et l’oeuvre complète de Ludwig van Beethoven en CD.
Il s’agissait de la troisième audience privée entre le pape argentin et la chancelière, après celle du 18 mai 2013, durant laquelle avaient été soulignées les valeurs et la responsabilité de l’Europe dans le monde et celle du 21 février 2015 où il avait été question de « la lutte contre la pauvreté et la faim ; l’exploitation des êtres humains et les droits de la femme ; les défis de la santé globale et la protection de la création ».
Le pape François et Angela Merkel, à la tête de l’Allemagne depuis 2005, se sont aussi rencontrés à d’autres reprises : lors de la messe d’inauguration du pontificat, le 19 mars 2013 ; à la remise du Prix Charlemagne au pape argentin, le 6 mai 2016 ; et encore récemment, lors de l’audience aux dirigeants européens dans le cadre des célébrations du 60e anniversaire des Traités de Rome, le 24 mars 2017.
Vulnérabilité du destroyer américain devant un navire marchand !!!!
https://www.youtube.com/watch?v=F5YvBS4JhoA
La marine américaine a identifié les sept marins retrouvés morts dans leurs cabines envahies par les eaux après une collision de leur destroyer avec un cargo au large du Japon, dans la nuit du vendredi 16 au samedi 17 juin 2017.
Agés de 19 à 37 ans, les membres d’équipage étaient portés disparus. Une vaste opération de recherche en mer et à bord avait immédiatement été déclenchée après l’accident et s’était poursuivie jusqu’à dimanche, lorsque leurs corps ont été retrouvés par des plongeurs dans le navire en partie inondé.
A l’origine du sinistre, une violente collision entre le USS Fitzgerald et un porte-conteneurs japonais, beaucoup plus massif. L’accident a provoqué une entrée d’eau dans une salle des machines, la salle de radio et des espaces où dormaient les marins.
Afrique Le 20.06.2017
Tueurs ou tués, les enfants du Kasaï sont les premières victimes de la guerre en RDC
Des mineurs déscolarisés sont enrôlés de force par les milices qui sèment la désolation dans le centre du pays depuis dix mois.
« Ils ont tué le chef du village et le pasteur. » Le 9 avril, le bruit a circulé de maison en maison à Lupemba, dans la province du Kasaï, au centre de la République démocratique du Congo (RDC). « Ils les ont jetés au sol et coupés comme des animaux », se souvient Kaseka Lulendo, un commerçant de 35 ans. « S’ils te voyaient avec des affaires dans les mains, ils te tuaient car cela signifiait que tu fuyais », dit-il, enfin réfugié à Kikwit, dans la province voisine du Kwilu.
Lire aussi : Violences au Kasaï : l’ONU suspendue à un vote sur l’envoi d’une enquête indépendante
Eux, ce sont les membres présumés de la milice se réclamant de Kamwina Nsapu, du nom du village et de la lignée royale de Jean-Pierre Mpandi, tué lors d’un assaut policier le 12 août 2016. Non reconnu par les autorités, ce chef coutumier appelait ses partisans à l’insurrection contre le président de la République, Joseph Kabila.
Sa mort a plongé les cinq provinces du Grand Kasaï (Kasaï, Kasaï-Central, Kasaï-Oriental, Lomami et Sankuru) dans une vague de massacres sans précédent dans cette région autrefois paisible. Les attaques ont été suivies de la répression de l’armée congolaise, si implacable que certains rescapés ne veulent pas retourner dans leur village. « Nous avons peur, car l’armée pense que tous les villageois sont des miliciens », disent de nombreux déplacés à Kikwit.
Armés de bâtons et de machettes
Ces miliciens sont d’un type particulier : beaucoup sont des mineurs, voire de très jeunes enfants. A Lupemba, « ils étaient une centaine, dont beaucoup d’enfants. » « Tous avaient moins de 20 ans. Il y avait même une petite fille parmi eux », raconte un habitant du village de Mayi Munene. A Lubami Manga, un village voisin, c’étaient « des enfants formés à combattre, qui avaient moins de 15 ans », raconte un autre.
De nombreux rescapés des massacres témoignent du même phénomène : des garçons et des filles, âgés de 5 à 25 ans, certains armés de simples bâtons, d’autres de machettes, s’en prenant aux symboles de l’Etat et à la population avec une violence spectaculaire.
Lire aussi : Au Kasaï, un conflit coutumier qui dégénère en sale guerre
Tueurs et tués, les enfants paient un lourd tribut dans la guerre au Kasaï. On ne sait pas combien figurent parmi les près de 3 400 morts qu’a faits le conflit depuis octobre 2016, selon un décompte de la Nonciature apostolique en RDC, ni combien ont été enterrés dans les 42 fosses communes répertoriées par les Nations unies. Une partie d’entre eux est en prison, et ce depuis le début du conflit, selon un message confidentiel de la Mission de l’ONU pour la stabilisation en RDC (Monusco) rendu public par Radio France internationale (RFI).
Dès le 27 août 2016, trois semaines après la première attaque, le chef de la Monusco, Maman Sidikou, rendait compte à Hervé Ladsous, secrétaire général adjoint des Nations unies aux opérations de maintien de la paix, des « allégations de sérieuses violations des droits de l’homme et des dizaines de personnes arrêtées, enfants inclus ».
Si 408 enfants ont été extraits des milices et des prisons par le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef), d’autres n’ont pas échappé à la répression ou la fuient encore.
« Forcée à boire la potion »
Ces enfants miliciens apparaissent dans deux vidéos publiées par RFI. L’une, tournée par un militaire, montre des cadavres : « Des enfants si petits », dit un soldat avec étonnement. La seconde, tournée par un civil, montre une fillette gravement blessée : « Tu es une petite criminelle, toi, une si jolie petite fille », dit une voix qui l’interroge sur sa participation au mouvement. Elle répond qu’elle a été envoyée « frapper des gens », « enrôlée de force » et « forcée à boire la potion ». Elle ne survivra pas.
Lire aussi : Joseph Kabila au Kasaï : un voyage qui vise à affirmer que la situation est sous contrôle
Déscolarisés à cause du coût des frais scolaires, les mineurs sont nombreux dans cette région accablée par la pauvreté. « Le discours de révolte des Kamwina Nsapu a été bien accueilli au début. La milice a pu recruter des combattants valides », explique le chercheur et consultant Anaclet Tshimbalanga, joint par téléphone à Kananga, la capitale de la province du Kasaï-Central.
Enrôlés de force, dirigés par des chefs multiples, les enfants sont soumis, comme les autres « adeptes » du chef Kamwina Nsapu, à des rites d’invulnérabilité. « Le lendemain de l’attaque, des enfants du village ont été emmenés dans la forêt, sans qu’on sache ce qui leur est arrivé », raconte un habitant de Lubami Manga, réfugié à Kikwit.
Risque de malnutrition
L’histoire n’avait pas préparé les habitants des Kasaï à de telles violences. Les massacres et la peur ont contraint plus d’un million d’entre eux à la fuite, parmi lesquels plus de 600 000 mineurs, d’après le Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations unies (OCHA).
Lire aussi : Le Kasaï, nouvelle terre de massacres en République démocratique du Congo
A Kikwit, il y a des femmes enceintes, d’autres qui ont perdu leur bébé pendant la fuite ; il y a des enfants qui ont perdu un père ou une mère dans les massacres, d’autres que leur famille a confiés aux camions s’aventurant encore dans la région.
Ceux qui sont restés sont désormais confrontés à la pénurie alimentaire. « Plus le conflit dure, plus l’impact sur les enfants s’alourdit », alerte Yves Willemot, représentant de l’Unicef en RDC. Selon les estimations de l’agence onusienne, 400 000 enfants sont en risque de malnutrition dans les provinces du Kasaï, où parvient peu d’aide humanitaire. A ce jour, seuls 6 millions des 40 millions de dollars (environ 35 millions d’euros) réclamés par l’Unicef ont été récoltés ou promis.
Sur place, les centres de santé sont soit inaccessibles, soit dépourvus de médicaments. Quant aux établissements scolaires, beaucoup sont fermés. Ils ont eux-mêmes été ciblés par les violences. Selon la Monusco, 639 écoles du Kasaï et du Kasaï-Central ont été attaquées, incarnant le terrible sacrifice d’une enfance perdue.
Le pape François a-t-il ignoré plusieurs alertes sur la présence, dans un institut pour enfants sourds-muets en Argentine – son pays d’origine –, de prêtres qui avaient été accusés de pédophilie lorsqu’ils officiaient pour le même institut en Italie ?
C’est ce qu’affirment des avocats représentant des enfants qui disent avoir été victimes d’agressions sexuelles dans l’institut catholique Provolo de Mendoza, au pied de la cordillère des Andes, à 980 kilomètres à l’ouest de Buenos Aires.
Selon Carlos Lombardi, conseiller de la Fédération des survivants des abus sexuels ecclésiastiques, le réseau L’Abuso, une association de victimes de pédophilie, avait fourni dès 2014 – quelques mois après l’élection au Vatican du pontife argentin Jorge Mario Bergoglio, le 13 mars 2013 – une liste de quinze prêtres qui auraient quitté l’institut Provolo de Vérone (Italie), la maison mère de l’établissement de Mendoza, après avoir été impliqués dans des scandales d’agressions sexuelles.
Parmi eux, Nicola Corradi, transféré en Argentine en 1984 à l’institut Provolo de La Plata (capitale de la province de Buenos Aires) avant de diriger celui de Mendoza à partir de 1996.
Deux prêtres, une religieuse et trois employés arrêtés
Ce même Nicola Corradi, 82 ans aujourd’hui, a été arrêté en novembre 2016 et assigné à résidence en raison de son âge. Il est accusé d’agressions sexuelles contre des mineurs sourds-muets en pension à l’institut de Mendoza.
En même temps que lui ont été arrêtés le prêtre Horacio Corbacho (56 ans) et trois employés de l’établissement, Jorge Bordon, assistant des prêtres, José Luis Ojeda, lui aussi sourd-muet, et le jardinier Armando Gomez. Le 5 mai, une religieuse japonaise, Kosaka Kumiko, a aussi été arrêtée pour complicité.
L’avocat Carlos Lombardi juge « impossible que le pape n’ait pas eu d’informations concernant Nicola Corradi, ou qu’il n’ait pas demandé ses antécédents ». Sergio Salinas, un autre avocat...
Que va-t-il se produire le 23 septembre 2017 ?
le 14 juin 2017
Que va-t-il se produire le 23 septembre 2017 ?
Les signes célestes d’Apocalypse 12
https://www.youtube.com/watch?v=jEkz_nJGQdw
Apocalypse 12, le 23 septembre 2017, l'enlèvement 3ième partie HD
https://www.youtube.com/watch?v=c0lhNnNtU5g
http://vincentdetarle.free.fr/catho/derniers_messages_fin_des_temps_7.html
http://vincentdetarle.free.fr/catho/enlevement.html
Vous n’aurez connaissance d’aucune transition. Votre corps terrestre sera transformé
et vous ne serez plus dans ce même corps. Ce sera une transformation radicale.
Message de la Sainte Vierge à Robert Brasseur (Québec-Canada) - Vendredi 21 avril 2017, 2 h 40
Mon enfant,
Ne désespère pas. Le temps présent demeure un temps de purification pour beaucoup de mes enfants. Dieu vous prépare pour cette Terre Nouvelle.
Bientôt, vous serez transportés sur les nuées et tout se déroulera en un clin d’œil. Vous n’aurez connaissance d’aucune transition. Votre corps terrestre sera transformé et vous ne serez plus dans ce même corps. Ce sera une transformation radicale.
Dieu va permettre cette transformation pour que vous puissiez goûter une « parcelle » de cette Nouvelle Terre qui sera une partie infime du Paradis.
Vous ne goûterez que de l’amour et tout ne sera qu’amour.
Et pour ceux qui seront demeurés fidèles, tout se passera dans l’harmonie. Mais pour ceux qui n’auront pas cru en leur Créateur, ceux-là auront à souffrir. Le chemin se séparera entre les bons et les méchants.
Tout cela pour t’expliquer à quel point c’est important de prier pour tes frères et sœurs. Sois toujours un cœur rempli d’amour et de louanges. Bénis tous ceux que tu rencontres afin que la Grâce de Dieu les touche au plus profond de leur cœur.
Mon fils, Je te bénis et sois courageux dans le combat. Ta persévérance est primordiale.
Je t’aime.
Marie, ta Maman
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Bientôt vous serez transportés sur les nuées pour que Dieu le Père purifie cette terre
Message de Notre Maman Marie à Robert Brasseur (Québec-Canada) - Vendredi 17 mars 2017, 4h50
Mon fils, Je Suis Marie, ta Maman.
Cher fils, beaucoup de Mes enfants ne réalisent pas la gravité de leurs offenses faites à Dieu... Leurs péchés dépassent de beaucoup la Patience du Père!
Bientôt vous serez transportés sur les nuées pour que Dieu le Père purifie cette terre.
Je demande à chacun de Mes enfants de prier avec intensité et de ne pas se décourager. La purification est déjà commencée dans le cœur de Mes enfants.
Vous allez traverser des périodes plus difficiles mais Moi, Marie, Je viendrai en aide aux familles qui seront unies par la prière.
Chers enfants, ne vous dérobez pas devant l’Adversaire mais combattez-le avec force par chacune de vos prières et ne remettez pas à demain ce que vous pouvez faire aujourd'hui pour consoler Mon Fils Jésus dans chacune de Ses souffrances.
Priez pour obtenir la grâce du moment présent !
Gardez toujours un cierge béni dans chacune de vos maisons, afin que lorsque le moment « ULTIME » de la Purification arrivera, vous soyez unis dans la Lumière autant dans votre cœur que dans votre demeure.
Priez pour ceux qui auront à souffrir et qui ne pourront trouver refuge, car ils seront balayés de la Main du Père qui sera sans pardon pour ceux qui l’auront renié.
Cher fils, Je préviens Mes enfants afin qu’ils se convertissent. Le temps de la miséricorde est accompli !
Je t’aime et Je te bénis ainsi que tous ceux qui sont unis dans la prière.
Marie ta Maman
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... seront élevé dans le ciel pour éviter d'être tué
Message de Jésus à John Leary (USA) Vendredi 30 septembre 2016
Jésus : Mon peuple, je suis sur le point d'apporter mon expérience de l'Avertissement à tout le monde sur la terre et en même temps. Personne ne sera exclu, et vous serez tous face à la revue de votre vie et de mon mini-jugement.
Au moment de la déclaration de l'Antéchrist, tout le monde devra supporter la tribulation. Je vais donc faire venir ma Comète du Châtiment sur la terre pour mettre fin à cette tribulation, et seulement les fidèles avec ma croix sur le front seront élevé au Ciel pour éviter d'être tué.
Je vais ensuite jeter les hommes mauvais en enfer et je renouvelerais la terre. Tous mes fidèles seront récompensés dans mon Ère de Paix et plus tard par leur entrée au Ciel. Alors gardez votre confiance en moi pour sauver vos âmes.
Jeudi 29 septembre 2016 - Jésus :
Mon fils, je dirige vos projets (de refuge) pour la dernière année et je vous ai encouragé à terminer vos projets rapidement avant que les événements ne viennent bientôt mettre en danger votre vie. (...)
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Enlever au Ciel ... afin qu'il ne soit pas tué par la comète de Châtiment
Message de Jésus à John Leary (USA) Jeudi 15 septembre 2016 Jésus : Mes amis, ce miracle de vous enlever au Ciel est ma façon de protéger mon peuple afin qu'il ne soit pas tué par la comète de Châtiment, qui sera ma victoire sur les forces du mal. Quand viendra ce temps, tous les mauvais anges et les gens mauvais seront jetés en enfer. Je vais placer mes fidèles dans mon Ère de Paix et ainsi ma victoire sera accomplie. |
Message de Jésus à Agnès Marie, le 10 février 2000 (...) Je vous le reconfirme pour que vous ayez une parfaite confiance, le petit nombre de Mes vrais amis sera élevé au Ciel dans le refuge des Cœurs unis de Marie et de Jésus tout le temps que durera l'abomination. Message de Jésus à Véronica Lueken (USA) année 1970-90 ? |
Mes anges vous transporteront jusque dans l'espace à l'intérieur d'une bulle qui vous fournira de l'oxygène et vous protégera du vide spatial
Message de Jésus à John Leary (USA) Mercredi 29 mai 2013
Jésus : Mon peuple, je vous montre dans cette vision comment ma comète du châtiment frappera la terre dans l'océan Atlantique à la fin des tribulations. Ce sera la réalité de ma victoire sur l'Antéchristet les démons.
Mes anges vous transporteront jusque dans l'espace à l'intérieur d'une bulle qui vous fournira de l'oxygène et vous protégera du vide spatial. Mes fidèles ne seront pas tués par la comète et alors commenceront les trois jours de ténèbres. Je vais nettoyer la terre de tous les hommes mauvais et ils seront jetés en enfer.
Je renouvellerai la Terre comme elle était dans le jardin d'Eden alors que j'étais encore sur la croix et je mènerais tous mes fidèles sur cette nouvelle terre afin qu'ils puissent continuer leurs vies sous les nouveaux cieux de mon Ère de la paix.
Mes fidèles verront la nouvelle Jérusalem et vous tous vivrez longtemps. Je vous ai déjà dit cela dans les messages précédents, mais maintenant vous êtes proche de l'expérience de ce miracle que sera ma victoire finale, cet instant est proche comme "la durée d'un mouvement de vol dans l'espace".
Réjouissez-vous car je protégerais mes fidèles, et vous aurez votre récompense dans mon Ère de paix et plus tard dans le ciel.
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Je vais vous mettre à l'abri dans les Cieux pendant le grand chaos sur terre. Votre grande récompense vous attend dans les Cieux. Vous y serez heureuses et serez émerveillées par tout ce qui vous y attend. Vous connaîtrez un peu le goût du Paradis
Messages de Jésus à Maria (France) : Samedi 9 juillet 2011
Tu sais bien que Je te dis toujours la vérité. Il est vrai que la vérité sur les temps à venir, est difficile à assimiler. Mais crois-le, c'est la vérité.
On ne peut pas toujours se moquer impunément de son DIEU. Je dois sévir et venir tout changer. Ce sera terrible, mais il le faut pour que le monde si cruel change et devienne un monde d'amour et de paix. Comprends-le Ma Fille, il le faut, vous ne pouvez pas continuer ainsi.
Vous, Mes chères Brebis fidèles, Je vais vous mettre à l'abri dans les Cieux pendant le grand chaos sur terre. Votre grande récompense vous attend dans les Cieux. Vous y serez heureuses et serez émerveillées par tout ce qui vous y attend. Vous connaîtrez un peu le goût du Paradis, vous reconnaîtrez ce qu'est l'amour de votre DIEU pour vous.
Ma Fille garde courage, tout ceci est à votre porte. Tout va aller très vite maintenant.
Je t'aime Ma Fille et sois prête car Je viens.
JESUS, ROI d'AMOUR. Amen !
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Dans ce songe, je réalisais que je montais à la rencontre du Seigneur dans les airs. C'était l'enlèvement ! Des multitudes de personnes montaient.
Une vision en songe du Pasteur David Wilkerson sur l’enlèvement de l’Eglise (extraits)
J'ai eu un songe du Seigneur, Il me parlait de Son retour prochain.
Dans ce songe, je réalisais que je montais à la rencontre du Seigneur dans les airs. C'était l'enlèvement ! Des multitudes de personnes montaient. Une très puissante force d'attraction nous élevait dans les airs. Les anges étaient venus nous chercher. Ils entraient dans les maisons et allaient chercher des personnes. Je savais avec certitude que je m'en allais à la maison. Le Seigneur Jésus était venu et nous étions tous rassemblés ensemble par les anges qui venaient chercher ceux qui s'étaient préparés.
« Ceux qui étaient prêts entrèrent avec lui au festin des noces, et la porte fut fermée » (Mt. 25, 10).
Des milliers et des milliers de personnes montaient comme l'éclair qui part de l'orient et luit jusqu'à l'occident.
Je voyais cet enlèvement prendre place comme au ralenti. Je me rappelle tout particulièrement, que je voyais dans une maison, trois personnes que je reconnus, deux de ces personnes étant des amis proches et l'autre un membre de ma famille. Ce qui me surprenait le plus, c'était que nous passions tout droit et que ces personnes ne montaient pas, elles restaient là !!
J'ai soudainement eu soudain un sentiment de terreur et je me suis dis : Oh Dieu! Ils sont restés en arrière !
Et le Seigneur me fit ressentir pendant quelques moments la terreur et la détresse de ceux qui restaient là, qui n'étaient pas enlevés. A ce moment là, j'ai compris, avec certitude, que tous ceux qui s'appelaient chrétiens, qui disaient : « Seigneur, Seigneur ! » et qui ne vivaient pas pour Dieu, qui se servaient de la grâce comme prétexte pour vivre dans le péché restaient là !! Même si ces chrétiens semblaient endormis, ils savaient ce qui arrivait, Jésus venait chercher les siens et eux restaient là !
Ce verset est devenu très réel dans mon esprit : « Quiconque me dit : Seigneur, Seigneur, n'entrera pas forcément dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux... Alors je leur déclarerai : Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l'iniquité » (Mt. 7, 21-23).
Je voyais des mains levées vers le ciel et j'entendais le monde crier pour attirer l'attention afin d’être aussi enlevés. Je m'entendais qui leur criais : Sortez de la foule ! Sortez de la foule ! - comme si parce qu’ils étaient séparés de la foule, ils pouvaient être enlevés mais nous… nous avons continué à monter et nous sommes passés tout droit.
J'ai éprouvé un sentiment que je n'avais jamais expérimenté. Même si j'avais entendu parler du retour de Jésus toute ma vie par mon père et par mon grand-père, cette expérience là n'était pas descriptible avec des mots. La Bible nous dit que nous serons changés en un instant, en un clin d'œil et, que ce corps corruptible va revêtir un corps incorruptible comme le sien. La parole nous dit que nous devons être prêts : « Car les noces de l'agneau sont venues, et son épouse s'est préparée » (Ap. 9, 7). Il vient pour ceux qui l'attendent en vue de leur salut.
J'ai éprouvé le sentiment d'horreur de ceux qui connaissaient l'évangile, qui ont connu l'amour, la miséricorde et la grâce de Dieu, et qui n'étaient pas prêts : ils ne s'étaient pas préparés !! Dans ce songe, je voyais des multitudes de personnes terrifiées qui hurlaient et qui essayaient de sortir de la foule pour se faire remarquer mais il était trop tard, nous sommes passés tout droit et eux, ils sont restés !!
Je savais que je partais pour le ciel avec le Seigneur, mais ce sentiment ressenti à propos de mes deux amis et du membre de ma famille qui étaient restés... je les voyais remplis d’une terreur incroyable et d’une détresse indescriptible.
« Alors, de deux hommes qui seront dans un champ, l'un sera pris et l'autre laissé ; de deux femmes qui moudront à la meule, l'une sera prise et l'autre laissée. Veillez donc, puisque vous ne savez quel jour votre Seigneur viendra » (Mt. 24, 40-42). Il arrive !
Je me souviens que j’éprouvais une sérénité parfaite et une paix qui n'est pas de ce monde. Il n'y avait pas de crainte. Je voyais des nuages au-dessous ; les personnes qui étaient là avaient revêtu leur corps glorieux. On se regardait tous avec stupéfaction et étonnement. Personne ne pouvait parler. Cela s'est fait si vite ; en un instant, en un clin d'œil, nous étions tous rassemblés des quatre vents.
On ressentait cet amour insondable qui dépasse toute intelligence. Je savais que j'étais à la maison et que la terre n'était plus ou que je ne l'apercevais plus. Satan ne pouvait plus nous toucher. Il n'y avait plus de péché. Il n'y avait que pureté et sainteté. Il n'y avait plus de possibilité de se perdre. J’étais éternellement à Jésus !
Tout était absolument indescriptible : nous avions revêtu nos corps glorieux. Il y avait ce sentiment que toute la parole de Dieu était accomplie ; tout ce que j'avais toujours cru et prêcher sur le retour du Seigneur s'était accompli. Ce sentiment de réalité et de vérité que l'on sentait : c’était le vrai monde, la vraie vie, la vraie réalité, c'était l'éternité. Tout faisait parti du passé. Tout était devenu nouveau, comme dans un rêve, le passé n'existait plus.
Dieu nous avait donné Sa grâce et Sa miséricorde. Il nous avait donné le temps nécessaire pour que nous puissions nous repentir afin de vivre dans Sa gloire.
Tout à coup, je me suis souvenu que dans le songe que j'étais en train de faire, je disais :
Mais Seigneur, que va-t-il se passer pour tous ceux qui sont restés ? Pour tous ceux qui n'ont pas été enlevés ? Pour ceux qui sont restés en arrière et qui pensaient qu'ils étaient prêts, ils ne sont pas ici ! Seigneur, que va-t-il se passer pour eux ? Ils sont perdus !
C'était le sentiment que je ressentais. Ce n’est pas un sentiment que j’éprouverais quand Jésus reviendra mais, je crois que Dieu a voulu me faire ressentir tout ce que ces gens vivaient dans leur détresse. Tout à coup, alors que je pensais à tous ceux qui étaient restés, je me suis éveillé. Je me suis brutalement assis dans mon lit et j'ai pensé : C’est le songe le plus incroyable que j'ai vécu de toute ma vie.
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Bientôt, Je viendrai vous chercher avec Mes Saints Anges, qui sont prêts à vous secourir, et vous serez mis à l’abri, en cet endroit que J’ai préparé pour vous.
Message de Jésus à JNSR (France), donné le 26 février 2011 : JESUS-CHRIST ME PARLE EN CE JOUR
JESUS : Comment DIEU s’exprime-t-il pour que l’on puisse Le suivre ?
En nous faisant voir les Signes des Temps et porter le jugement nécessaire qui nous prouve que cela ne vient pas de nous, mais bien de LUI qui se trouve bien près de nous, pour nous dicter la suite qui se prépare. Le Temps est choisi pour nous parler.
C’est la rencontre de l’AMOUR et de l’ESPRIT.
L’Esprit qui habite en celui qui Me suit [qui habite l’esprit de la voyante, JNSR, comme il habite l’esprit de quiconque a une foi profonde] et que Je convoque au Jour et à l’Heure qu’il faut, pour diffuser tout ceci aux autres, qui attendent Ma Vérité.
La Voici : Vous êtes tous des êtres aimés de DIEU et Je vous le confirme, en M’occupant de chacun. Pour cela, écoutez ce que J’ai à vous dire aujourd’hui.
Ne laissez pas tomber à l’eau les Paroles qui sortent de Ma Bouche, en ces Temps si terribles où la mort rôde partout, touchant de toutes parts la moitié de la Planète, par mer, sur terre et dans les airs.
Je viens vous sauver. Mais pour cela, il faut que chacun comprenne, que Seul Mon AMOUR est « Conscient » de ce que Je fais pour vous, pour chacun de vous. J’écris avec cette main [la main de la voyante], qui se prête à Mon écoute, car il se fait tard et J‘interviens en ces moments où chacun est concerné. Essayez de faire confiance à ce que vous lirez après celle qui M’est fidèle et qui ne se trompe pas. Tout vient de Moi.
« Votre Souverain DIEU Jésus-Christ »
Je vous informe, par elle, et qui vous dira tout ce que Je lui demande d’écrire. Mon Cœur déborde de Miséricorde.
Bientôt, Je viendrai vous chercher avec Mes Saints Anges, qui sont prêts à vous secourir, et vous serez mis à l’abri, en cet endroit que J’ai préparé pour vous. L’Heure ne sera pas annoncée, mais Je vous appellerai d’une façon que vous ne mettrez pas en doute. Avec cette dictée, Préparez-vous…..
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Je viendrai prendre Mes élus à Dozulé, au pied de Ma CROIX Glorieuse (Je vous en parlerai plus tard). Dans les nués, nous irons ensemble vers Jérusalem, pour assister à la fin des ennemis de Dieu.
Message de Jésus à JNSR (France) 11 février 2010
Dans ce pays d'élection – "France fille aînée de l'Église" – se trouve également cette Jérusalem Nouvelle, tout comme dans Israël se retrouve le Temple de DIEU qui est la ville même de Jérusalem choisie par notre Père des Cieux. Le Fils de Dieu doit descendre à Jérusalem, pour arrêter cette lutte furieuse du Mal qui va se déchaîner contre la ville Sainte (Les prophètes vous l'ont annoncé).
Je viendrai prendre Mes élus à Dozulé, au pied de Ma CROIX Glorieuse (Je vous en parlerai plus tard). Dans les nués, nous irons ensemble vers Jérusalem, pour assister à la fin des ennemis de Dieu.
Lorsque nous verrons, descendre des nués, le Christ et toute la Jérusalem Céleste, (tous les grands Saints), nous serons happés vers cette grande nuée, car au pied de la CROIX Glorieuse, "les élus", le Seigneur les aura déjà ressuscités dans l'Esprit de Son Père. (31ième apparition de Dozulé – Je dois ressusciter les esprits). Puis, Jésus le redit dans la 33ième apparition – (Lettre adressée au Pape.) "Car le temps n'est plus où Je ressuscitais les corps, mais le moment est venu où Je dois ressusciter les esprits devant la Croix." (...)