C’est une masse de rats qui pullulent dans une benne à ordures de Paris. Les gros nuisibles gris s’amoncellent pour avoir leur part du butin du jour et sautent parfois sur les hautes parois de la poubelle. La scène a été filmée le 9 décembre dernier sur les berges de Seine, entre le musée d’Orsay et le Pont Royal (Paris, VIIe) par David*, un des employés de la Ville de Paris, en charge de la propreté dans la capitale. Ce matin-là, les éboueurs doivent vider les bennes enfermées dans des cages cadenassées.
Les éboueurs de la ville de Paris ont dénoncé, images à l'appui, la prolifération des rats dans certains quartiers de la capitale française.
Enregistrée par un agent de la propreté à l'aide de son téléphone portable, la séquence est parvenue jusqu'aux bureaux de la mairie de Paris. Relayée par Le Parisien, elle écorne en effet considérablement l'image de la Ville lumière, à la réputation prestigieuse et confortablement installée sur le podium du tourisme mondial depuis des temps immémoriaux.
Invasion de rats
On y voit en effet une véritable colonie de rats grouiller frénétiquement dans le fond d'une benne à ordures. Les uns sur les autres, les rongeurs tentent, tant bien que mal, de s'extirper de leur cage en plastique. La scène a été immortalisée le 9 décembre dernier sur les berges de la Seine près du musée d'Orsay.
Conditions de travail pénibles
L'auteur de cette vidéo a témoigné anonymement afin de sensibiliser les pouvoirs publics aux conditions de travail pénibles qu'affrontent chaque jours les employés chargés de la propreté municipale.
Réaction de la mairie de Paris
La mairie n'a pas tardé à réagir à cette publication éloquente et a confié avoir connaissance du phénomène: "Toutes les directions concernées ont pris le problème à bras-le-corps", a déclaré Mao Peninou, adjoint au maire, en charge de la Propreté. Elle a notamment rappelé qu'en septembre dernier la mairie a débloqué 1,5 million d'euros pour lutter contre ces nuisances, relate Le Parisien.
Publié le 12 juillet 2017 à 13h22 | Mis à jour le 12 juillet 2017 à 13h22
New York lance une offensive pour affamer les rats de la ville 12/7/2017
Publié le 12 juillet 2017 à 13h22 | Mis à jour le 12 juillet 2017 à 13h22
New York lance une offensive pour affamer les rats de la ville
Selon une étude de l'université Columbia, il y aurait deux millions de rats à New York.
PHOTO ROBERT MECEA, ARCHIVES AP
Priver les rats de nourriture, c'est l'objectif de la ville de New York qui a annoncé mercredi un plan pour trois quartiers particulièrement touchés ciblant la gestion des ordures, principale source d'alimentation des millions de rongeurs new-yorkais.
Présents dans la cité portuaire depuis le milieu du 18e siècle, les rats seraient environ deux millions à New York, selon une étude publiée en 2014 par un doctorant de l'université Columbia.
La mairie va débloquer 32 millions de dollars pour ce nouveau plan, axé sur les trois quartiers les plus infestés, à savoir l'avenue Grand Concourse dans le Bronx, une zone englobant Chinatown, l'East Village et le Lower East Side à Manhattan, et les deux quartiers de Bushwick et Bedford-Stuyvesant au nord-ouest de Brooklyn.
Il s'agit avant tout de repenser la gestion des ordures qui sont une source majeure de prolifération des rats dans la capitale financière américaine. Commerces, restaurants, bureaux ou résidences laissent quotidiennement des milliers de sacs poubelle à même le trottoir durant plusieurs heures.
Alors que le ramassage est généralement effectué à partir de 06H00 du matin, la loi autorise à déposer des sacs devant les bâtiments dès 16H00 la veille, offrant un «café quatre étoiles» aux rongeurs à même le trottoir, a expliqué la responsable des services de propreté de la ville, Kathryn Garcia.
Avec le nouveau plan, un arrêté va être soumis au conseil municipal obligeant les immeubles d'au moins 10 appartements à attendre 04H00 pour sortir leurs ordures.
Dans les zones les plus touchées, la fréquence de ramassage des ordures va être augmentée, notamment dans les jardins publics où les rats trouvent souvent refuge.
La mairie va aussi installer dans les rues, dès cette semaine, 336 poubelles fermées en métal, inaccessibles aux rats, machines «intelligentes» qui compactent progressivement les ordures pour gagner de la place.
Le maire de New York Bill de Blasio a reconnu, lors d'une conférence de presse, que les rats étaient associés à l'image de la ville, et que la situation n'avait «pas été suffisamment bien gérée jusqu'ici».
Autre mesure: la ville va bétonner les caves de 11 résidences HLM des quartiers visés. Leur sol est aujourd'hui en terre, facilitant le passage des rats.
En 2016, la ville de New York a enregistré 31 362 réclamations concernant les rats.
Pour Bill de Blasio, le plan, qui vise à réduire de 70% la population des rats dans les trois quartiers concernés, «pourrait servir», à plus long terme, «de modèle à quelque chose de beaucoup plus large».
Traduire cette page2 oct. 2017 - Through Sept. 21, the city is on pace to set another record with about 1500 more rat complaints than it had by the same time last year.
Traduire cette page26 sept. 2016 - My wife and I were walking in Kelsey Park yesterday (25/9/16) and noticed three ratswithin the space of one hour. We have noticed rats before in the park but it seems this infestation is getting worse. I am concerned that this is becoming a potentially serious health and safety issue as therats are clearly ...
14 déc. 2016 - Bruxelles Multiplication des chantiers et déchets plus nombreux favorisent l'apparition de ces petits rongeurs, souvent indésirables. Vous en avez peut-être aperçu ces ... Mais il y a trop de denrées alimentaires et ils ont donc trop de choix, ce qui engendre une prolifération importante". La situation est ...
Il y a 5 jours 18/1/2018- Mais il n'y a pas que les déchets qui favorisent l'apparition des rats dans les rues de Bruxelles. Les nombreux chantiers de la capitale ont aussi un impact sur la prolifération des rongeurs. En réalité les travaux ont tendance à faire fuir les rats qui étaient installés à proximité, ce qui les obligent à sortir de ...
Traduire cette page 22 juin 2017 - Υγειονομικ? β?μβα οι λ?φοι σκουπιδι?ν και οι υψηλ?ς θερμοκρασ?ες - «Γεμ?σαμε»ποντ?κια καταγγ?λλουν οι κ?τοικοι. Η Αθ?να ε?ναι σε κατ?σταση ασφυξ?ας με τα σκουπ?δια να σχηματ?ζουν βουν? σε γειτονι?ς, κεντρικο?ς δρ?μους ακ?μα και σε τουριστικ?ς περιοχ?ς (VIDEO). Δημοσιε?θηκε: 22 Ιουν?ου 2017 ...
Traduire cette pageΟ Πειραι?ς στο ?λεος του Θεο?! Γεμ?σαμε ποντ?κια και κατσαρ?δες! Τετ?ρτη, 28 Ιο?νιος 2017 09:16. Του Ζαφε?ρη Σπυριδ?κη. Ο πιο βρ?μικος Δ?μος και επ?σημα ο Πειραι?ς. Απαρ?δεκτη η κατ?σταση στους περισσ?τερους δρ?μους, εκτ?ς απ? το κ?ντρο της π?λης, την «μ?στρα», εκε? που απ ?τι φα?νεται μπορε? σ?μφωνα με τον ...
24 juin 2015 - Different risk factors in the urban environment can, for example, be poor housing which can lead to proliferation of insect and rodent vector diseases and geohelminthiases. .... Largemegacities all over the world have large rat populations, but the surveillance and local knowledge seem to be inadequate.
29 juil. 2010 - PEKIN (Reuters) - Les autorités chinoises ont entraîné des renards argentés d'élevage à chasser le rat pour combattre la prolifération du rongeur...
PEKIN (Reuters) - Les autorités chinoises ont entraîné des renards argentés d'élevage à chasser le rat pour combattre la prolifération du rongeur...
PEKIN (Reuters) - Les autorités chinoises ont entraîné des renards argentés d'élevage à chasser le rat pour combattre la prolifération du rongeur dans les grandes prairies du Xinjiang, selon un communiqué du gouvernement local.
Les autorités de la province de l'extrême nord-ouest ont acheté une vingtaine de renards en 2004, et disposent aujourd'hui d'une "armée" de 284 carnivores qu'elles ont lâchés dans la nature, rapporte l'agence de presse Chine nouvelle.
"Les renards sont d'excellents prédateurs pour le rongeur. Un renard peut attraper près de 20 rats par jours. La population de rats a diminué dans plusieurs pays après adoption de cette mesure", a rapporté à l'agence un responsable local.
Des conditions de sécheresse inhabituelles ont permis aux rats de se reproduire dans de fortes proportions, faisant peser une menace sur quelque 5,5 millions d'hectares de prairie, rapporte l'organe de presse gouvernemental.
Dans une des régions où les renards ont été relâchés, le nombre de rats à baissé de 70%, toujours selon Chine nouvelle.
Le Xinjiang est plus coutumier de l'élevage des renards argentés pour leur fourrure. En d'autres endroits de la province, les autorités ont recours aux loups, aux aigles et même aux poulets ou aux canards pour contrôler la prolifération des rats, explique l'agence.
Comment Hong Kong traite les rats de gouttière, mais pas les rats qui courent la ville 6/1/2017
Les rongeurs ont prospéré dans les temps pré-scientifiques, quand les gens ne savaient pas qu'ils propagent la maladie, mais pendant des décennies ont été traités efficacement; quel paradoxe, alors, que les rats soient laissés à l'émeute dans les couloirs du pouvoir
Wherever large numbers of people have congregated, rats have also made their homes. In London and New York it has frequently been remarked that no one is ever more than a few metres away from a silently lurking rodent. And in warm, densely built-up places such as Hong Kong, it is easy for vermin to survive and proliferate: food left in open places, uncovered rubbish bins and gutters and drains all encourage the grey, long-tailed urban rat.
Scientific advances throughout the 19th century, particularly discoveries and developments in microbiology, made the links between public filth, vermin such as rats and outbreaks of epidemic disease abundantly clear.
From the time the Chadwick Report into public sanitation was published, in 1882, exposing the dire state of public cleanliness in Hong Kong and consequent risk to civic health and well being, the importance of adequately dealing with the city’s rodent nuisance has been apparent. The bubonic plague, which first appeared in Hong Kong in the spring of 1894 and continued to return, due to inadequate sanitation, until the late 1920s, was spread by rat-borne fleas.
Traduire cette page 28 oct. 2010 - Moscow may face an epidemic transmitted by rats and mice because the rodent population has crossed the safety threshold, the Federal Consumer Protection Service said Thursday, Interfax reported. The rodent population density is 1.1 to 1.2 per 1,000 square meters, while it should be no more than 0.5 to ...
Russian Authorities Prepare “Blitzkrieg” Against Moscow’s Rats 15/7/2013
Moscou repris par des rongeurs. Les autorités préparent un "Blitzkrieg anti-rat"
Les Moscovites se plaignent de plus en plus des rats qui se présentent.
Comme il a été écrit dans le numéro de lundi du journal "Izvestiya", le Service fédéral du bien-être humain deMoscou a noté une augmentation importante des plaintes concernant les rats dans le secteur résidentiel.
Selon les autorités, dans un seul district du Nord, il y a eu 11 plaintes. En outre, une situation similaire s'est développée dans les districts de l'Est, du Nord-Est et du Nord-Ouest.
Le Service Fédéral du Bien-être Humain a déclaré que l'une des raisons de la migration des rats vers les sous-sols et les appartements dans les grands immeubles résidentiels est le temps chaud et humide de mai, mais aussi la démolition d'un grand nombre de points de vente. Nourriture pour les animaux.
Victor Fedoruk, directeur du Centre d'information et de droit pour la réforme des services publics, est d'accord pour dire que c'est le problème.
"Après la démolition des étables, les rongeurs se sont enfuis à la chaleur la plus proche et ont infiltré les appartements par des conduits de ventilation qui traversent le sous-sol et les conduits avec des câbles de télévision et des câbles électriques".
Larisa Berglezova, responsable de l'assainissement du district administratif du nord, a déclaré au journal qu'à la suite des plaintes des habitants, les autorités ont décidé d'une extermination totale non seulement des maisons d'hébergement et des territoires adjacents, mais dans chaque cas. op, aussi bien.
Selon le porte-parole du district administratif du Nord-Ouest, Elena Sedinaya, des plaintes ont également été formulées concernant des rats par des habitants de leur district. Le porte-parole de la préfecture a précisé que des contrats pour la campagne "anti-rat" ont été conclus pour chaque maison d'habitation.
Le secrétaire de presse du district administratif de l'Est a écrit sur la désinfestation dans la région.
"Les spécialistes ont inspecté les sous-sols et se sont débarrassés de l'inondation, car s'il y a de l'eau, les rats peuvent survivre après l'administration du poison. Les poubelles, les poubelles, les garages et les magasins des magasins voisins ont été traités. Le problème est que la désinfestation a été effectuée par les entreprises privées les plus basses, et les critères de sélection étaient le prix et non la qualité », a-t-il remarqué.
À son tour, comme l'a noté le secrétaire de presse du district administratif du Nord-Est, Aleksandr Latishev, la responsabilité incombe non seulement à ces entreprises, qui doivent assurer la propreté de la ville, mais aussi aux résidents eux-mêmes.
"Les gens laissent souvent des sacs à côté des chutes d'ordures, qui nourrissent les animaux errants. Un tel comportement conduit à l'apparition de rats ", a-t-il souligné.
L’état dégradé de la capitale italienne et la gestion désastreuse de ses déchets n’ont rien de nouveau. Mais une vidéo mise en ligne le 10 juillet s’est chargée de les ramener sur le devant de la scène, en faisant la priorité numéro un de Virginia Raggi, la toute nouvelle maire de Rome.
La vidéo en question a abondamment circulé sur les réseaux sociaux. Elle a été filmée dans le quartier périphérique de Tor Bella Monaca par des enfants qui jouaient à compter les rats parmi les déchets. “Attendez les gars, je fais une vidéo,dit l’un d’eux. Vingt-cinq rats en cinq minutes, vous vous rendez compte ?”
Virginia Raggi, issue du Mouvement 5 Etoiles et élue le 19 juin à la mairie de Rome,“s’est précipitée sur les lieux du ‘crime’ [le 11juin], à la chasse aux rats qui figurent dans la vidéo”,rapporte Il Tempo. Pour la nouvelle administration, il s’agira de nettoyer les zones affectées, d’améliorer la gestion municipale des déchets, et de lutter contre l’incivilité de ceux qui se débarrassent de leurs immondices dans la rue. Le journal romain titre “Le rat de Rome” – ce qui, en italien, rappelle “le pacte” de Rome – sur le photomontage d’une louve capitoline où les jumeaux Romulus et Rémus ont été remplacés par deux rats.
Rats, punaises, moustiques, frelons… Le nombre de « nuisibles » explose en France 8/6/2017
Le réchauffement climatique, la multiplication des zones vertes en ville et les nouveaux modes d’hébergement expliquent la prolifération des nuisibles
LE MONDE ECONOMIE |
Ils sont partout, dans les literies, les caves, les armoires, les jardins et même dans les rues. Les « nuisibles », rats, punaises de lit, frelons et moustiques étendent leurs zones d’activité, et le nombre d’interventions pour les combattre a explosé (+ 54 % en deux ans).
Selon les chiffres communiqués par les professionnels de la chambre syndicale de désinfection, désinsectisation et dératisation, appelée « CS3D », les 2,7 millions d’interventions contre les nuisibles de 2013 sont passées à 4,2 millions en 2015 sur le territoire national, dont une augmentation de 41 % pour la dératisation et de 75 % pour la désinsectisation.
Les causes de ces proliférations sont variées et diffèrent selon les espèces.
Mais les professionnels soulignent néanmoins le rôle du réchauffement climatique qui limite les périodes de moindre activité, avec une augmentation des températures hivernales, et accroît considérablement les zones d’action vers le nord notamment des moustiques, des frelons et des chenilles processionnaires. Autre cause : la multiplication des voyages et les efforts insuffisants de la part des pouvoirs publics pour informer les particuliers.
Des règles sanitaires contraignantes
La CS3D cible aussi les règles environnementales et sanitaires qui interdisent l’utilisation de certains produits. « On assiste à un développement incontesté des populations de nuisibles et à l’arrivée programmée de nouvelles espèces – cent sont introduites chaque année en France, même si peu survivent – et, dans le même temps, les moyens de lutte s’amenuisent avec un arsenal de plus en plus inadapté », proteste Patrick Gravey, président de la chambre syndicale, qui regroupe 80 % du marché.
Selon lui, « les récentes réglementations européennes prises sous la pression des différents mouvements de refus de la chimie laissent les professionnels avec un arsenal de plus en plus inadapté à la prolifération des nuisibles ».
Pour Stéphane Bras, porte-parole de la CS3D, les réglementations européennes sont décidées pour des pays qui ne connaissent pas les mêmes conditions climatiques et ne sont pas confrontés aux mêmes défis s’agissant des nuisibles. « Il n’y a pas grand-chose en commun entre des pays aux climats tempérés, les nordiques et les méditerranéens. En France même, d’une région à l’autre, la liste de ces nuisibles diffère », explique-t-il.
L’attaque des punaises de lit
Trente-six insectes et dix rongeurs sont inscrits sur la liste des cibles à éliminer en France. Parmi elles, les punaises de lit sont les nuisibles qui auraient le plus progressé, + 165 % d’interventions en deux ans.
« Les voyages avec le passage dans des chambres d’hôtes, des hôtels moins bien entretenus dans des pays où les punaises prolifèrent, le recours de plus en plus fréquent aux locations chez les particuliers, la multiplication des vide-greniers avec achats de meubles d’occasion, de vêtements, les restaurants cosy qui proposent de manger assis sur des canapés ou des fauteuils… sont autant de raison de cette progression », détaille M. Bras.
Ces punaises, qui s’installent aussi dans les crèches et les maisons de retraite, peuvent provoquer des lésions cutanées sévères, très urticantes, pouvant aller jusqu’à l’œdème. « Les professionnels de l’hôtellerie ne veulent pas en parler, car ils risquent de perdre des clients », estime M. Bras.
Plus visibles, les rats n’en prennent pas moins aussi leurs aises. Les rongeurs représentent plus de la moitié des interventions des spécialistes. « On ouvre de plus en plus d’espaces verts dans les villes, des endroits où l’on pique-nique, ce qui crée plus de déchets, autant d’aliments potentiels pour les rats, et nos solutions, là encore, sont réduites par la suppression de certains produits comme les poudres de piste ou l’obligation de placer nos appâts toxiques dans des boîtes fermées », argumente M. Bras.
Tout en reconnaissant l’utilité de ces petits rongeurs, la CS3D souligne le risque sanitaire qu’ils font courir : germes transmissibles à l’homme, infections cutanées, etc.
Risques sanitaires et économiques
La fédération insiste aussi sur l’extension des zones d’activité des frelons asiatiques, responsables en partie de la mortalité des abeilles, ou des moustiques-tigres, vecteurs de pathologies comme la dengue ou le chikungunya. Vespa velutina, le frelon asiatique, a déjà colonisé plusieurs pays européens (Portugal, Italie, Espagne, Allemagne, Belgique, Royaume-Uni…). En France, du Sud-Ouest, où il est apparu en 2004, arrivé de Chine dans un lot de poteries, il a voyagé vers le Nord, occupant désormais 75 % du territoire.
Il est temps de prendre conscience des risques sanitaires et économiques, plaident les professionnels.
C’est en même temps une aubaine économique pour un secteur en pleine progression, avec une augmentation de 84 % du nombre d’entreprises entre 2010 et 2014 et de 30 % (entre 2011 et 2013) du chiffre d’affaires. Le secteur emploie quelque 5 500 salariés, compte 1 200 entreprises et réalise 650 millions d’euros de chiffre d’affaires annuel.
La prolifération de rats en ville inquiète les autorités sanitaires
Une étude menée sur des rats d’un parc francilien montre qu’ils sont porteurs de parasites, dont certains transmissibles à l’homme.
En avril dernier, l’agence de surveillance épidémiologique Santé Publique France publiait une étude (1) montrant une forte croissance en 2015 des cas de leptospirose, maladie bactérienne transmissible à l’homme via l’urine de rat : 700 cas en outre-mer, 600 cas dans l’Hexagone (au lieu de 300 en 2011), dont 40 % évoluant jusqu’à une insuffisance rénale. Dans le monde, la leptospirose concerne plus de 1 million de cas par an, dont 60 000 décès.
Alertés par le conseil départemental des Hauts-de-Seine, des chercheurs de l’Inra, de VetAgro Sup et de l’Institut Pasteur menés par Gwenaël Vourc’h, éco-épidémiologiste, ont souhaité en savoir plus sur les rats bruns du parc départemental des Chanteraines. Après en avoir capturé 86, des deux sexes et de tout âge, au moyen d’appâts placés dans des cages, les chercheurs les ont euthanasiés puis autopsiés.
56 % des rats génétiquement résistants aux raticides
Alors que le règlement intérieur du parc interdit l’utilisation de raticides, les scientifiques ont mis en évidence des résidus de ces produits (à des taux variables) dans le foie de la moitié des rats (48 %). Et 56 % des rats se sont révélés génétiquement résistants aux raticides couramment utilisés (anticoagulants de type antivitamine K). Ce qui signifie que les rats sortent du parc.
Très adaptable, capable d’être diurne, le rat est également un vecteur de nombreuses maladies transmissibles à l’homme et à l’animal. Les chercheurs ont identifié 16 types différents de parasites (protozoaire, bactéries, vers, puces).
Lutter contre la prolifération des rats en ville
Au moins deux parasites sont potentiellement responsables de maladies chez l’homme : la bactérie de la tularémie, une maladie pouvant entraîner ulcère cutané et hypertrophie ganglionnaire, ou encore la bactérie de la leptospirose dont le rat est le principal réservoir. Ce qui pose « la question de la potentielle transmission de ces maladies aux personnes – notamment aux enfants – et aux animaux qui fréquentent ce parc ».
Contre toute attente, les scientifiques ont aussi observé une grande diversité génétique chez ces rats. Ce qui montre l’existence d’échanges génétiques avec d’autres populations vivant hors du parc. « Pour lutter efficacement contre la prolifération des rats en ville, faute de prédateurs naturels, il faut à la fois agir en limitant leurs ressources (restes alimentaires, poubelles), en utilisant des traitements chimiques, en aménageant l’espace (stock de céréales, bouche d’égout, endroits insalubres) », souligne Gwenaël Vourc’h.
Hémorroïdes: de la physiopathologie de base à la prise en charge clinique 7/5/2012
Les hémorroïdes sont une condition anorectale très commune définie comme l'élargissement symptomatique et le déplacement distal des coussins anaux normaux.
Ils touchent des millions de personnes dans le monde et représentent un problème médical et socio-économique majeur. Plusieurs facteurs ont été déclarés être les étiologies du développement hémorroïdaire, y compris la constipation et la contrainte prolongée. La dilatation anormale et la distorsion du canal vasculaire, ainsi que les changements destructifs dans le tissu conjonctif de soutien dans le coussin anal, est une constatation primordiale de la maladie hémorroïdaire [ 1 ]. Une réaction inflammatoire [ 2 ] et une hyperplasie vasculaire [ 3 , 4 ] peuvent être évidentes chez les hémorroïdes.
Cet article a d'abord passé en revue la physiopathologie et d'autres antécédents cliniques de la maladie hémorroïdaire, suivie par les approches actuelles de la gestion non-opératoire et opératoire.
Bien que les hémorroïdes soient reconnues comme une cause très fréquente de saignement rectal et d'inconfort anal, l'épidémiologie réelle de cette maladie est inconnue parce que les patients ont tendance à recourir à l'automédication plutôt que de consulter un médecin.
Une étude épidémiologique menée par Johanson et al [ 14 ] en 1990 a montré que 10 millions de personnes aux Etats-Unis se plaignaient d'hémorroïdes, ce qui correspond à un taux de prévalence de 4,4%. Chez les deux sexes, la prévalence maximale était entre 45 et 65 ans et le développement d'hémorroïdes avant l'âge de 20 ans était inhabituel.
Les Blancs et les individus ayant un statut socioéconomique plus élevé étaient plus souvent touchés que les Noirs et les personnes de statut socioéconomique inférieur. Cependant, cette association peut refléter des différences dans le comportement de recherche de santé plutôt que la vraie prévalence.
Au Royaume-Uni, les hémorroïdes affecteraient 13% à 36% de la population générale [ 1 , 15 ].
Cependant, cette estimation peut être plus élevée que la prévalence réelle parce que les études communautaires reposaient principalement sur l'auto-déclaration et que les patients peuvent attribuer des symptômes anorectaux aux hémorroïdes.
L'intérêt des Américains pour les hémorroïdes a explosé 10/10/2013
Alors qu'entre 2004 et 2008, le terme «hémorroïdes» a été consulté environ 40 000 fois par semaine, ce nombre a commencé à augmenter en 2008 pour atteindre environ 120 000 en 2013.
Crédit: LiveScience
Le nombre d'Américains cherchant en ligne pour des informations sur les hémorroïdes et comment les traiter semble avoir monté en flèche depuis 2008.
Les données recueillies lors des recherches effectuées sur Google montrent que l'intérêt pour le terme «hémorroïdes» a plus que doublé entre 2008 et 2013, selon une analyse LiveScience utilisant Google Trends, un outil qui indique la fréquence d'utilisation d'un terme de recherche dans le moteur de recherche. le volume total de recherche dans un pays spécifique.
Le terme «hémorroïdes» a été consulté environ 40 000 fois par semaine entre 2004 et 2008, mais ce nombre a commencé à augmenter au milieu de 2008, a grimpé à environ 80 000 recherches hebdomadaires en 2010 et a atteint près de 120 000 pendant quelques semaines en 2013.
"Ma première hypothèse serait que les gens deviennent plus à l'aise avec Internet, et ils vont chercher de plus en plus de choses, et les hémorroïdes sont une condition commune", a déclaré le Dr Jesse Moore, professeur adjoint de chirurgie à l'Université de Vermont College of Medicine, et assistant chirurgien à Fletcher Allen Health Care à Burlington, VT.
En fait, un Américain adulte sur trois a déclaré être allé en ligne pour essayer de déterminer quelle maladie il ou elle pourrait avoir, selon une enquête nationale menée plus tôt cette année par Pew Research Center.
"L'une des idées fausses sur les hémorroïdes est que" personne ne l'a mais moi. " En fait, tout le monde a des hémorroïdes, mais tout le monde n'a pas de symptômes d'hémorroïdes ", a déclaré Moore à LiveScience.
Mais parfois, les hémorroïdes peuvent devenir enflées ou enflammées, causant des symptômes tels que des saignements ou des douleurs.
«Je vois beaucoup de gens dans mon bureau qui se plaignent d'hémorroïdes et ce n'est qu'environ la moitié du temps qu'ils ont des hémorroïdes symptomatiques», a déclaré M. Moore. Parce que d'autres conditions peuvent causer les mêmes symptômes, beaucoup de gens pensent à tort qu'ils ont des hémorroïdes.
La condition la plus courante que les gens confondent avec les hémorroïdes sont des fissures, a déclaré Moore. Les deux peuvent causer des saignements.
Les fissures, qui sont des déchirures dans la peau du bas rectum, sont habituellement traitées avec un médicament topique appliqué à la surface de la fissure. Cependant, certains patients ont besoin d'une intervention chirurgicale, a-t-il dit.
Comment les hémorroïdes peuvent-elles être traitées?
Les hémorroïdes sont de deux types; il y a interne et il y a des hémorroïdes externes, a déclaré Moore.
Les hémorroïdes internes provoquent des saignements indolores. Une option de traitement pour les hémorroïdes internes est d'utiliser ce qu'on appelle «rubberbanding», qui étrangle l'hémorroïde en attachant un élastique à sa base, coupant le flux sanguin vers l'hémorroïde. Ceci est une procédure ambulatoire qu'un médecin effectue dans le bureau.
Les hémorroïdes externes se produisent lorsque les hémorroïdes deviennent irritées, et des caillots sanguins se forment sous la peau. C'est ce qu'on appelle une thrombose, ou coagulé, hémorroïde, et est douloureux et peut saigner. Le traitement habituel pour les hémorroïdes externes est de les exciser.
En outre, lorsque les gens éprouvent de l'inconfort dans leur région rectale, qui pourrait être causée par des hémorroïdes symptomatiques, des fissures, des verrues ou d'autres conditions, c'est une bonne idée de consulter un médecin qui peut aider à diagnostiquer le problème.
Review of Hemorrhoid Disease: Presentation and Management
Hemorrhoid disease is the fourth leading outpatient gastrointestinal diagnosis, accounting for ∼3.3 million ambulatory care visits in the United States.1 Self-reported incidence of hemorrhoids in the United States is 10 million per year, corresponding to 4.4% of the population. Both genders report peak incidence from age 45 to 65 years. Notably, Caucasians are affected more frequently than African Americans, and higher socioeconomic status is associated with increased prevalence.2 Contributing factors for increased incidence of symptomatic hemorrhoids include conditions that elevate intra-abdominal pressure such as pregnancy and straining, or those that weaken supporting tissue.
Despite its prevalence and low morbidity, hemorrhoid disease has a high impact on quality of life, and can be managed with a multitude of surgical and nonsurgical treatments. In this review, we will discuss the anatomy, presentation, and management of symptomatic hemorrhoid disease.
Rectal pain and bleeding should never be blindly attributed to hemorrhoids. A thorough history and physical examination is required to help identify any possible alternative diagnosis, and the possibility of a more insidious cause of rectal bleeding should always be considered. In the colorectal surgeon's office, a detailed anorectal examination is crucial to diagnosis. Patients may be examined in a prone-jackknife or left lateral position. External inspection will reveal any thrombosed external hemorrhoid, which often appears as a firm, purplish nodule that is tender to palpation. Thrombosed hemorrhoids may also have ulcerations with bloody drainage. Skin tags maybe signs not only of prior hemorrhoids but also of fissure disease. Digital examination will exclude distal rectal mass and anorectal abscess or fistula. Evaluation of sphincter integrity during the digital examination is important to establish baseline function, and is especially important in patients who report incontinence as any future surgical intervention may further worsen function. Lastly, anoscopy and rigid or flexible proctosigmoidoscopy should be performed routinely to identify internal hemorrhoids or fissures, and to rule out distal rectal masses. Internal hemorrhoids can be reliably identified in the three above-mentioned columns, and described based on grade and degree of inflammation.
If uncertainty remains after office examination, a total colonoscopy is often appropriate to rule out a proximal source of bleeding. Certainly, any patient over the age of 50 years without an up-to-date colonoscopy requires this to be performed. For younger patients, the decision for colonoscopy must be based on risk factors, clinical suspicion, and response to initial therapy.
Rats in Jordan River ? 21/12/2017
Dec 21, 2017, 10:17 PM
Today I was telling my sister about my desire to visit Israel. She said that she had seen a TV show where people were getting baptized in the Jordan River, and there were these large rats swimming near them. I found this disturbing, so I googled it and found out that they are rodents called nutria or river rats. Are these things really swimming around in the river while people get baptized? I know that would be a deal breaker for me. I have not heard this mentioned on the forum or in any book I have read about Israel. Maybe I missed it. I know that a lot of people get baptized there, but I can't imagine going in the water with those things
Israël : les serpents ont fini d’hiberner, et ils ont faim 8/7/2017
Nous nous sommes entretenus avec un attrapeur de serpents, Avi Levi, au sujet de la récente recrudescence de morsures de reptiles en Israël.
"Nous parlons de l'été", a déclaré Levy. "Et si nous parlons de l'été, nous parlons du fait que les serpents se sont réveillés de leur sommeil hivernal - et qu’ils ont faim".
"Il y a plusieurs types de serpents. Il y a les petits, qui vivent en se nourrissant d’insectes rampants, comme les araignées. Et il y a les grands serpents, qui mangent des rats, des souris, des poussins etc.
"Les chances d’entrer en contact avec un serpent pendant cette période de l'année sont par conséquent plus élevées."
Lorsqu'on lui a demandé comment une personne devait réagir à la vue d’un serpent, Levi a dit: "Tout d'abord, laissez-le tranquille. Les serpents sont des animaux peureux. Nous ne traitons pas avec les serpents, nous ne voulons avoir à faire à eux. Et les serpents ne nous cherchent pas car ils ont bien plus peur que nous.
"Tout ce que le serpent désire, c’est manger. Il n’est pas intéressé à utiliser son venin sur vous - il veut le réserver à sa nourriture.
Si vous voyez un serpent, appelez juste un professionnel, quelqu'un qui est autorisé à attraper des serpents, et qui viendra traiter le problème.
"Nous parlons de 41 différents types de serpents. Tous les serpents ne sont pas venimeux, même s'ils ont une tête en forme de triangle.
Mais à la fin de la journée, ceux qui ne connaissent pas les serpents ne devraient pas les toucher".
Que doit-on faire suite à une morsure de serpent?
"C’est très simple. Aller aussi vite que possible à l'hôpital - dans les 45 minutes. Restez aussi calme que possible, de sorte que votre sang circule bien.
Ne pas bander la main, ne pas mettre de glace, ne pas essayer de sucer le poison. Ca va bien pour les films mais ce n'est pas une bonne idée dans la vie réelle.
Il suffit d'aller à l'hôpital, d'obtenir le bon traitement, et tout ira bien. "
En ce qui concerne la prévention, Levi a déclaré: "Bien sûr, il existe des moyens de prévenir les morsures de serpents. Si vous faites de la randonnée, portez des chaussures hautes et un pantalon long. Marchez sur les chemins et ne déplacez pas les pierres car les serpents se cachent en dessous".
"Si vous avez un jardin à la maison, gardez le propre et assurez-vous que les serpents n'ont pas de place pour se cacher. Si vous avez des pichets vides, ce sont d'excellentes cachettes à serpents, ne les gardez pas, de même pour les pneus avec lesquels jouent les enfants.
"Si vous veillez à la propreté de votre jardin, vous pourrez éviter de rencontrer des serpents".
La présence de serpents est plus fréquente qu'on ne le pense.
Pour les éviter, il faut suivre certaines précautions :
- Ne jamais partir seul en excursion, emporter toujours son tel portable préalablement chargé,
- éviter les zones à risques,
- s'habiller correctement avec des pantalons longs, des chaussettes, des bottes ou chaussures hautes,
- regarder où l'on marche et où l'on s'assied,
- éviter de soulever des morceaux de bois ou des pierres.
- Ne pas oublier que même une tête coupée de serpent peut mordre par réflexe.
En cas de morsure, ne pas utiliser les méthodes anciennes :
- ne pas sucer la plaie ou aspirer le venin,
- ne pas poser de garrot,
- ne pas inciser l'endroit de la morsure,
- ne pas approcher une flamme près de la plaie.
Par contre, il faut calmer le blessé, éviter la panique car celle ci accroit la circulation sanguine et donc accélère la dispersion et la diffusion du venin.
Ne pas donner à manger et surtout pas d'alcool qui est aussi vasodilatateur.
Il faut immobiliser le blessé au calme en position allongée latérale.
Appeler immédiatement à l'aide afin que le blessé soit transporté le plus rapidement possible à l'hôpital le plus proche malgré que 50% sont des morsures d'intimidation et sans injection de venin.
Il faut enlever tout ce qui fait striction sur le corps : ceinture, montre, bracelet, bague, lacets...
La partie mordue doit être plus basse que le niveau du cœur.
On nettoie la plaie avec de l'eau, du savon et au besoin un antiseptique.
On place un bandage peu serré afin d'exercer une légère pression.
En cas de douleur, on peut donner du paracétamol mais pas d'aspirine.
Le sérum antivenin ne doit être injecté que si l'on est dans un endroit très isolé car il est très allergisant et il est de beaucoup préférable d'en laisser le soin aux services de santé.
Et j'insiste, le principal est d'éviter la panique.
Néguev - 1 septembre 2011
Les serpents, la chaleur et les Israéliens sont de mèche contre les détenus palestiniens
Cet été, comme chaque été d’ailleurs, les milliers de Palestiniens détenus dans les prisons de l’occupation israélienne, surtout dans celle du désert du Néguev, sont menacés par tous ces reptiles venimeux, des serpents, des scorpions, sans parler de rongeurs et d’insectes, des souffrances supplémentaires.
Le Palestinien Mohammed Abou Al-Rab est détenu dans la prison du Néguev. Il dit que cette prison se trouve dans un désert connu pour ses serpents des plus venimeux qui mettent en danger la vie des détenus.
Et dans la saison estivale, ajoute-t-il, ces serpents viennent se faufiler à l’intérieur même de la prison, mettant les détenus sur leur garde, de façon permanente. Les produits fournis par l’administration n’ont aucun effet sur ces bêtes.
La position de la prison
Ce sont les occupants israéliens qui portent la totale responsabilité de ce problème, dit Faouad Al-Khafach, chercheur pour les affaires des captifs palestiniens, au correspondant du Centre Palestinien d’Information (CPI). Ce sont eux qui ont choisi la position de cette prison.
Chaque année, des captifs palestiniens sont mordus par des serpents. Ils sont transférés vers les hôpitaux pour recevoir le soin nécessaire et pour ne pas mourir dans la prison, ce qui cause des problèmes à l’administration de la prison.
Il est vrai que cette prison du Néguev souffre particulièrement de ces reptiles, mais la prison d’Ofer en souffre aussi. Les deux prisons sont ouvertes et ne sont protégées que par des barbelés. Les rongeurs Le captif Mustapha Al-Hassan souligne que les serpents ne sont pas le seul problème, il y a aussi les insectes et les rongeurs qui font de la prison un enfer.
Les insectes infestent les biens des captifs, en plus de causer des problèmes corporels. Puis il y a les rats, aussi problématiques que les serpents. Parfois, les captifs dépensent une journée complète pour chasser un rat.
La division cinq de la prison du Néguev en souffre la plus. Les toilettes sont découvertes ; elles deviennent une source permanente pour les insectes et les rongeurs. Une catastrophe sanitaire attend les captifs, si cette situation continue.
Les maladies de la peau
Le chercheur Al-Khafach confirme que les différents insectes causent différentes maladies de la peau.
Ces insectes causent des boutons sur le corps, sans parler des problèmes causés par les rongeurs et les mouches, surtout en été.
En plus de tout cela, les captifs du Néguev souffrent de cette odeur insupportable produite par les égouts à côté de la prison, source d’odeur et aussi de rongeurs.
PALESTINIANS: ISRAEL USES RATS AGAINST J'LEM ARABS 20/7/2008
The Palestinian Authority's official news agency Wafa says Israel is using rats to drive Arab families out of their homes in the Old City of Jerusalem. In the past the news agency, which is controlled and funded by PA President Mahmoud Abbas's office, has accused Israel of using wild pigs to drive Palestinians out of their homes and fields in the West Bank. In the reports, Palestinians were quoted by the agency as saying that they had seen Israelis release herds of wild pigs, which later attacked them. But this is the first time that Palestinians have spoken of rats being used against them. "Rats have become an Israeli weapon to displace and expel Arab residents of the occupied Old City of Jerusalem," Wafa reported under the title, "Settlers flood the Old City of Jerusalem with rats." The report continued: "Over the past two months, dozens of settlers come to the alleyways and streets of the Old City carrying iron cages full of rats. They release the rats, which find shelter in open sewage systems." Wafa quoted unnamed Arab residents as saying that they had tried to eliminate the rats with various poisons, but to no avail. Israel's goal was to "increase the suffering of the [Arabs] in Jerusalem by turning their lives into a real tragedy and forcing them to evict their homes and leave the city," Hasan Khater, secretary-general of the Islamic-Christian Front in Jerusalem, was quoted as saying. Jerusalem Municipality spokesman Gidi Schmerling said that the report was "pure fiction," and had no connection to reality. Etgar Lefkovits contributed to this report
Jerusalem infested with rats
Capital's residents exposed to rat infestation; rodents invade yards, even in plush neighborhoods
Jerusalem residents are struggling with a rat infestation across the city.
The appearance of the repulsive rodents has become more dominant in the less-than-plush areas, such as the industrial zones and the marketplace.
The municipality recommended they seal their homes.
Some assume that the reason for the infestation is the wide-scope road and infrastructure construction work performed by the municipality.
The excavations cause the burrows to collapse, and the rats surface in order to search for other territories.
"The minute those burrows are ruined, the rats invade homes and yards, looking for new places to live," explained Zohar Liyor from the pest control company Ashmadon.
He also sees the economy as a reason: "In the past, most businesses used pest control companies on a permanent basis. These days, due to the tough economic situation, many business owners try to save on expenses, including pest control".
The first thing to do, he adds, is to maintain sanitation.
Even well-kept, reputable neighborhoods did not escape the epidemic.
Nehama, a resident of Jerusalem's Yefe Nof neighborhood, said that
she has been struggling with the rodents for over a year. She talked to her neighbors who also complained about it, indicating that the infestation is all over the neighborhood.
"It was a nightmare. For a year I wouldn’t dare open the windows, even in the summer. The smell of urine and feces was unbearable. They used to come into the house through the sewer, or the trees, windows, and the suspended cables.
It took me a while to get rid of them and the damages were huge," she said.
Itzik Avraham from the marketplace's vendors committee has three traps and three different kinds of poison. "You can see them at night roaming the yards, each one as big as a cat.
I've been here for 40 years and never saw anything like it. The municipality has to do something about this, otherwise diseases will spread. It's scary". Jerusalem Municipality: Seal your homes
Another vendor in the marketplace explained how he contends with the problem: "The second you see a rat, everyone defends his store with brooms to prevent the rat from entering, and eventually that's how they kill it. Just like in the good old days."
He added that he had approached to municipality on the issue several times. However, "the sanitation department sent people to spread poison, but after a short relief the rats were back again".
The main disease spread by rats is intestinal typhus. Once food makes contact with a rat, the chance for an infectious disease increases.
In Israel there are thousands of reported cases a year.
Usually the recommendation is to dispose of food that came in contact with a rat. Side affects are fever, shuddering, and vomiting.
The main difficulty in the war against rats is their high survival capabilities and the fact that they are shrewd rodents.
"A rat learns the paths and escape routes. A rat doesn't just run, it knows where it is going and is capable of passing this information to other generations to come so they can survive," Lior said. The Jerusalem Municipality rejected the claims that the number of rats has increasedand made it clear that before performing any infrastructure works the sanitation department is careful to use pest control, but only in public areas, not in houses and private yards.
Zion Shitrit, head of the municipality's sanitation department claimed that "vendors in the marketplace should make sure that the sewer manholes are covered, and residents should seal their homes and keep everything clean".
"If anyone thinks that we can ignore rats, he simply doesn't understand a thing. The rat will always be the human's companion," he added.
Traduire cette page17 juil. 2006 - Hospitals warned city residents to watch out for snakes this summer because the hot weather sees an increase in snake bites. Longhua Hospital, which has a Chinese herb therapy department to treat snake-bite injuries, said it had treated more than 20 snake-bite victims since summer began last month.
MORSURES DE SERPENT EN AUGMENTATION CET été Les hôpitaux ont averti les résidents dela ville de faire attention aux serpents cet été
parce que le temps chaud voit une augmentation des morsures de serpent.
L'hôpital Longhua, qui dispose d'un service de phytothérapie chinoise pour traiter les blessures causées par des morsures de serpent, a déclaré avoir traité plus de 20 victimes de serpents depuis le début de l'été dernier.
Il a dit que la plupart des piqûres étaient non venimeuses.
L'hôpital de Changhai a indiqué qu'il avait également reçu plusieurs cas. "A en juger par l'expérience passée, l'été est la période de pointe de l'année pour les morsures de serpent avec notre hôpital", a déclaré une femme médecin avec le département de phytothérapie chinoise de Longhua.
"Les serpents sont plus actifs en été que pendant les autres saisons et les gens portent moins de vêtements, ce qui les rend plus vulnérables aux morsures de serpent.
Le docteur a dit que les serpents les plus dangereux ne s'aventuraient pas dans les villes ou les endroits où les humains vivaient.
Elle a dit que les serpents venimeux les plus communs trouvés à CHANGHAÏ étaient de la famille d'ussuriensis, qui inclut des espèces de vipères.
Le docteur a dit que les morsures de ces serpents n'étaient pas mortelles SI l'attention médicale appropriée était recherchée immédiatement.
Mercredi, un serpent de plus d'un mètre de long a participé à une confrontation d'une heure AVEC LA POLICE après avoir mordu une femme dans le vieille rue Hongzhen, a précisé le médecin.
Le serpent a mordu la femme quand elle a marché dessus pour l'empêcher D'ENTRER CHEZ ELLE dans la rue.
Un policier a finalement réussi à tuer le serpent en le frappant avec un bâton et la femme et le serpent mort ont été envoyés à l'Hôpital Longhua.
Le serpent s'est avéré inoffensif et la femme a été libérée après que les médecins aient nettoyé la plaie.
Le 4 juillet, un agent de sécurité n'a pas eu autant de chance.
Il a été mordu à l'index droit par un petit serpent venimeux quand il a essayé de LE SAISIR DANS LE GARAGE d'un immeuble de bureaux sur la route de Huichuan, dans le district de Changning. Son doigt se glonfla bientôt et il commença à vomir et à se sentir étourdi.
Le directeur de l'unité de reptiles du zoo de Shanghaï, surnommé Wu, a dit que les gens devraient faire attention lorsqu'ils marchent près des ruisseaux et des bois en été.
Peu de données fiables sont disponibles sur l'incidence des morsures de serpent dans les pays développés et en développement. Des données épidémiologiques insuffisantes ont empêché la reconnaissance de la morsure de serpent comme un problème important de santé publique. Nous avons vérifié les statistiques sur les morsures de serpent (mamushi et habu bites) au Japon en utilisant une base de données hospitalière représentative à l'échelle nationale actuellement disponible. Nous avons identifié 1 670 patients hospitalisés avec des morsures de serpents dans 404 hôpitaux du 1er juillet au 31 décembre 2007 et 2008. Plus de 60% étaient des hommes, l'âge moyen était de 60,1 ans et le taux de mortalité hospitalière était de 0,2%. L'incidence de la morsure de mamushi, répartie entre les latitudes 30 ° N et 46 ° N, a été estimée à 1,67 piqûres / 100 000/6 mois. Il est important de continuer à recueillir toutes les données disponibles pour surveiller les tendances de cette maladie potentiellement mortelle.
Les morsures de serpent demeurent un danger dévastateur et mortel pour l'environnement, non seulement dans les pays en développement tropicaux 1,2 mais aussi dans les pays développés. 3 Les serpents venimeux sont largement distribués dans presque tous les pays entre les latitudes 50 ° N et 50 ° S. 4 LeJapon a une superficie d'environ 378 000 km 2 et une population d'environ 127 millions d'habitants. Les zones habitées par l'homme sont situées entre 24 ° N et 46 ° N, ce qui va d'une zone subtropicale à une zone tempérée. Mamushi ( Gloydius blomhoffii ) 5,6 et habu ( Protobothrops flavoviridis ) 7-9 sont deux des principaux serpents venimeux au Japon; les deux appartiennent à la sous-famille des Crotalinae (vipères de la fosse). Les morsures de Mamushi se produisent dans les zones entre 30 ° N et 46 ° N. Les morsures de Habu se produisent sur l'île d'Okinawa et les îles isolées environnantes (24-29 ° N), une région habitée par 1,5 million de personnes.
Vraisemblablement, les serpents du monde enveniment des centaines de milliers de personnes et tuent ou blessent des dizaines de milliers chaque année. 1 Cependant, peu de données fiables sur l'incidence précise et la mortalité associée sont disponibles, et le fardeau de santé publique attribuable aux morsures de serpent demeure incertain.
Les systèmes de surveillance des morsures de serpent ne sont pas bien établis, même dans les pays développés.
Par exemple, l'American Association of Poison Control Center rapporte des statistiques annuelles sur les morsures de serpent aux États-Unis10, mais de nombreuses morsures de serpent ne sont pas signalées parce que la déclaration n'est pas obligatoire et certains médecins traitants ne consultent pas un centre antipoison. La situation est pire au Japon; aucun système national de surveillance n'est présent et l'incidence des morsures de serpent reste obscure.
Nous avons vérifié l'incidence et la répartition géographique des morsures de serpents au Japon en utilisant une base de données cliniques hospitalière représentative à l'échelle nationale actuellement disponible; la base de données des patients hospitalisés pour la procédure de diagnostic (DPC). La base de données DPC est un résumé de décharge et des données de réclamations administratives. Les hôpitaux de la DPC couvrent environ 38% de tous les lits de soins actifs au Japon. Les données sont compilées du 1er juillet au 31 décembre chaque année par le DPC Research Group, qui est financé par le ministère de la Santé, du Travail et du Bien-être social, au Japon. 11 La base de données comprend l'emplacement des hôpitaux; l'âge et le sexe des patients; les diagnostics enregistrés avec la Classification internationale des maladies, Codes de la 10e Révision; procédures; médicaments et dispositifs utilisés; et les durées de séjour et les taux de mortalité intra-hospitalière.
Nous avons obtenu des données pour les patients ayant un diagnostic de morsure de serpent (Classification internationale des maladies, code de la 10e révision, T63.0) de 5,9 millions de patients hospitalisés entre le 1er juillet et le 31 décembre 2007 et 2008. Nous avons identifié 1670 morsures de serpent. 60 habu bites) de 404 hôpitaux (962 en 2007 et 708 en 2008). Le nombre de cas était de 393, 575, 415, 234, 42 et 11 en juillet, août, septembre, octobre, novembre et décembre, respectivement. Dans l'ensemble, 62,6% étaient des hommes et l'âge moyen ± SD était de 60,1 ± 20,1 ans. En ce qui concerne les complications induites par les morsures de serpent, 31 (1,9%) avaient un diagnostic de syndrome compartimental nécessitant une fasciotomie, 77 (4,6%) avaient un choc hypovolémique, 55 (3,3%) avaient une insuffisance rénale aiguë et 29 (1,7%) coagulations intravasculaires. Trois décès (0,2%) ont été identifiés. tous étaient âgés (tranche d'âge = 79-86 ans) femmes avec des mamushi.
Les adresses de 404 hôpitaux ont été géocodées, et les emplacements ont été affichés sur une carte du Japon et ont été couplés avec des informations sur les données annuelles moyennes de température et de population en utilisant ArcGIS version 9.3.1 (Environmental Systems Research Institute Inc, Redlands, CA) 1 ). En ce qui concerne les morsures de mamushi, nous avons décrit le nombre de morsures, le taux de couverture des lits de soins actifs et la population, et estimé l'incidence des mamushi dans chaque région, correspondant aux latitudes 30-34, 34-38, 38- 42 et 42-46 ° N ( tableau 1 ). Dans l'ensemble, l'incidence des morsures de mamushi a été estimée à 1,67 morsure / 100 000 personnes / 6 mois entre juillet et décembre. Les morsures de mamushi étaient plus réparties dans le sud du Japon, et on supposait que la température avait une influence importante sur la distribution.
Les serpents et les serpents selfies serpentent en Russie en raison de l'été pluvieux 29/7/2015
La population de serpents a augmenté dans et autour de Moscou après le temps frais et humide de cet été, a rapporté mercredi le site d'informations Russkaya Sluzhba Novostey (RSN).
"Durant ces jours d'été pluvieux, la population de serpents a augmenté à New Moscow, Ismailovsky Park et Moose Island National Park", a déclaré l'herpétologiste Vladislav Starkov à RSN, ajoutant que les zones suburbaines proches des rivières Desna et Pakhra dans la partie sud de la région de Moscou. un nombre particulièrement élevé de reptiles maintenant.
Starkov a conseillé aux personnes qui rencontrent un serpent de ne pas paniquer, mais reste calme et n'essaie pas de l'attraper.
"Les Vipers n'attaquent pas d'abord et sont inoffensifs", a déclaré Starkov.
Néanmoins, avec l'augmentation de la population de serpents, il y a eu une augmentation correspondante du nombre de personnes ayant signalé avoir été attaquées par des serpents.
Deux résidents de la région de Lipetsk, au sud-est de Moscou, ont récemment été hospitalisés après avoir reçu des morsures de serpents venimeux, a rapporté mardi l'agence de presse Regnum.
Un homme de la ville de Yelets a accidentellement marché sur une vipère en pêchant et a été mordu à la jambe.
Dans un incident distinct dans la région, une femme a été mordue par un serpent alors qu'elle tentait de prendre un selfie dans les roseaux au bord d'un étang. Elle a marché pieds nus dans la zone et a marché sur un serpent, qui l'a ensuite mordue. Elle a été amenée au service toxicologique de l'hôpital régional avec un gonflement sévère au pied, a rapporté Regnum.
Les morsures de serpent sont en hausse USA, et ces états sont les plus risqués 20/10/2016
Plus de 1 300 enfants américains souffrent de morsures de serpent chaque année en moyenne, et une attaque sur quatre se produit en Floride et au Texas, révèle une nouvelle étude.
Tous les 50 États et Washington, DC, ont signalé des morsures de serpent aux enfants entre 2000 et 2013. Et environ un cinquième de ces morsures ont nécessité l'admission à une unité de soins intensifs, ont constaté des chercheurs.
"Tout serpent venimeux peut être dangereux avec des complications neurotoxiques et des problèmes de coagulation sanguine", a déclaré l'auteur principal de l'étude, le Dr Joann Schulte, un épidémiologiste médical.
"Certains enfants meurent, et les retards dans le traitement peuvent être une des raisons", a déclaré Schulte, qui était avec le Centre de contrôle du poison du nord du Texas à Dallas au moment de l'étude.
Outre le Texas et la Floride, les États ayant des taux élevés de morsure de serpent comprennent la Géorgie, la Louisiane, la Caroline du Nord , l'Oklahoma et la Virginie-Occidentale, Schulte et ses collègues ont trouvé.
Cependant, de bonnes nouvelles sont apparues concernant le traitement. "Notre travail suggère que plus d'anti-venin est utilisé", a déclaré Schulte.
L'équipe de Schulte a examiné les données des centres antipoison américains sur les victimes de morsure de serpent âgées de 18 ans et moins. Plus de 18 700 cas de morsures de serpents ont été signalés entre 2000 et 2013, dont environ la moitié venimeuse. Deux victimes sur trois étaient des garçons et leur âge moyen était de 10,7 ans, selon l'étude.
Les morsures de Copperhead ont grimpé de 137 pour cent, tandis que les morsures de serpents venimeux inconnus ont plus que doublé. Quatre victimes sont mortes au cours de la période d'étude, ont indiqué les chercheurs.
Copperheads mordent plus de gens que n'importe quelle autre espèce de serpent des États-Unis, selon le North Carolina Cooperative Extension à la North Carolina State University. Mais leur venin est doux et rarement mortel.
Généralement, les serpents à sonnettes sont considérés comme les plus venimeux et les plus susceptibles de causer la mort, a déclaré Schulte. L'Arizona et la Californie avaient la plupart des piqûres de serpent à sonnettes, elle a trouvé.
Selon l'étude, un traitement anti-venin a été administré dans environ 26% des cas de morsure de serpent.
De nombreuses salles d'urgence contiennent des antivenins tels que CroFab et Anavip, et elles sont plus sûres que les anti-venins du passé, a déclaré M. Schulte.Mais «une facture d'hôpital de 100 000 $ ou plus n'est pas du tout rare, alors vous voulez vous assurer que l'anti-venin est nécessaire», a-t-elle ajouté.
Le cobra venimeux est finalement piégé après une chasse massive dans la région de Los Angeles
Venomous Cobra Finally Trapped After Massive Hunt In Los Angeles Area 2014
25 mars 2017 - The World Health Organization (WHO) in 2009 assigned one of its priorities to increase medical services to the victims of snakebite (1). On average ... In Iran, 83 species of snakes have been identified, of which 45 species are non-venomous, 27 species are venomous and 11 species are semi-venomous.
The battle to contain Africa's hidden killers 20/12/2017
(CNN) Rainy seasons in Nigeria bring out venomous snakes, which emerge from their shelters to hunt and breed.
This is always a hazardous time, particularly for agricultural workers tending their fields, and this autumn proved especially cruel.
Around 250 people were reportedly killed over a three-week period in the central states of Gombe and Plateau, in a crisis that overwhelmed local doctors and prompted a national outcry.
The case was extreme, but not unique. Nigeria is among the countries worst affected by what some public health experts are calling an epidemic.
14 août 2009 - L'Australie est d 'ailleurs le seul continent qui héberge plus de serpents venimeux que de serpents non venimeux. ... Les cas de morsures sont dans la grande majorité des cas accidentels. Vipère du Gabon. ... C'est une espèce méridionale que l'on trouve du nord de l'Italie aux Balkans, jusqu'à la Grèce.
23 mars 2014 - La Vipère heurtante, l'un des serpents les plus dangereux du monde. Si la morsure n'est pas soignée à temps il faudra amputer le membre qui a subit la morsure. Vous voilà prévenu. Les crochets de venin de la vipère heurtante peuvent mesurer 2 cm de long, ce qui est relativement long pour un serpent.
Un séisme de magnitude 6 a frappé aujourd'hui la Birmanie, a annoncé l'Institut américain de géophysique (USGS).Le séisme s'est produit à une.. ... Un séisme de magnitude 6 frappe la Birmanie. Par Le Figaro.fr avec AFP; Mis à jour le 11/01/2018 à 20:53; Publié le 11/01/2018 à 20:04. Abonnez-vous à Figaro Premium ...
Il y a 2 heures 23/1/2018 - Des Indonésiens attendent devant leur immeuble après qu'un séisme de magnitude 6 a frappé Jakarta, capitale de l'Indonésie, le 23 janvier 2018. — BAY ISMOYO / AFP. Un séisme de magnitude 6 a secoué la capitale indonésienne Jakarta ce mardi, entraînant des scènes de panique. Des centaines de ...
Il y a 39 minutes - 23/1/2018 Plusieurs municipalités du nord-est et du nord de l'Argentine ont subi des précipitations diluviennes qui ont occasionné des inondations. Il est tombé localement plus de 234 mm de pluie en 24 h.
Corbeil-Essonnes - La crue de la Seine et ses conséquences - 28/01/2018
Il y a 6 heures - L'éruption volcanique a provoqué une avalanche, sur le mont Kusatsu-Shirane. ... Une photo prise depuis un hélicoptère, montrant le mont Kusatsu-Shirane, dans la préfecture de Gunma, au Japon, mardi 23 janvier 2018. (KYODO KYODO / REUTERS). avatar. franceinfo avec AFPFrance Télévisions.
Grecque de Rhodes dans le sud de la Grèce a subi de fortes chutes de grêle qui ont causé des dommages matériels dans plusieurs villes. Des centaines de véhicules ont subi des dommages.
Il y a 2 jours - CATastrophes NATurelles.net, l'observatoire permanent des
Des inondations généralisées ont frappé le Devon avec de fortes pluies. Des maisons ont été évacuées et des routes bloquées, alors que le Met Office a émis un avertissement jaume our l'ensemble du Royaume-Uni.
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Il y a 1 jour 23/1/2018 - Ce mardi à la TV sur AB3, regardez Alerte tsunamis. Découvrez la bande annonce et plus d'informations. Téléfilm : Accusés à tort d'être à l'origine des tsunamis, John McAdams et Sophie Marleau continuent d'être traqués par les fédéraux.
Le monde est-il au bord d’une catastrophe naturelle?? 3/2/2018
Des scientifiques ont récemment fait une découverte qui avertirait d’un danger pour l’avenir de l’humanité car il s’agit d’une éventuelle catastrophe mondiale qui pourrait avoir lieu bientôt. Les résultats de leur recherche sont publiés dans le Geophysical Research Letters.
Des scientifiques de l'Institut d'études géologiques des États-Unis ont découvert que 793 millions de kilogrammes de mercure se sont accumulés dans le pergélisol de l'hémisphère nord de la Terre, relate le Geophysical Research Letters.
La fonte des glaces causée par le réchauffement climatique pourrait entraîner la libération de métaux toxiques dans l'environnement, ce qui provoquerait une catastrophe écologique mondiale.
Le pergélisol contient notamment du mercure naturel qui provient de l'atmosphère et se lie à la matière organique du sol. Par la suite, les particules de sol se congèlent.
Les chercheurs ont analysé 13 échantillons de glace prélevés en Alaska entre 2004 et 2012. Les données obtenues ont été comparées aux résultats de l'analyse de 11.000 échantillons de sols prélévés dans le monde entier.
Il s'est avéré que le pergélisol contenait 10 fois plus de mercure naturel que le taux relevé dans l'environnement à la suite de l'activité anthropique au cours des 30 dernières années.
Une grande quantité de métal qui pourrait être libérée lors de la fonte de la glace se transformerait en méthylmercure — une substance toxique qui s'accumule dans le corps des êtres vivants et provoque de graves troubles, y compris des dommages au système nerveux central.
Fonte des glaces, émissions de méthane… Le spectre d’une spirale infernale 10/6/2016
Dans l’Arctique, le réchauffement est nettement plus fort que sur le reste de la planète, la superficie minimum de la banquise en fin d’été pourrait marquer un nouveau record en septembre 2016, les glaces fondent plus vite que prévu, les effets naturels du réchauffement accélèrent eux-mêmes le réchauffement, un réservoir de méthane est susceptible de dégazer dans l’Est sibérien… Mais l’humanité semble encore dormir tranquille.
Pour l’instant, les superficies enregistrées depuis le début de l’année vont dans le sens d’un nouveau record. Le Centre national de données sur la neige et la glace (NSIDC) des Etats-Unis montre que la surface de la banquise arctique était au 31 mai d’environ 11,203 millions de kilomètres carré contre 12,674 pour la moyenne des 30 dernières années et 12,437 pour le 31 mai 2012, précédente année « record », durant laquelle le minimum de 3,387 millions de km2 avait été atteint le 17 septembre.
Des rétroactions qui accélèrent de fait le réchauffement de l’Arctique
Pour des scientifiques comme Peter Wadhams, de tels coups de chaud dans ces régions réputées froides sont inquiétants parce qu’ils ont le pouvoir de provoquer de nombreuses rétroactions naturelles, accélérant de fait le réchauffement dans la région:
– Changements des courants-jets avec des vents qui peuvent transporter la chaleur loin au nord, accélérant de fait la fonte des glaces, et donc le réchauffement de l’Arctique.
– Réchauffement de l’eau des rivières qui se jettent dans l’Arctique, ce qui provoque une disparition supplémentaire de glace et un réchauffement de l’océan, jusqu’au fond de la mer.
– Mise en place de terrains favorables au feux de forêt, ce qui est source d’émissions de CO2, de méthane et de polluants.
– Déstabilisation des sols initialement connus comme permafrost. Au fur et à mesure où la glace fond, les dépôts organiques décongelés se décomposent, émettent du méthane et du CO2, tandis que les sols deviennent de plus en plus sujets aux incendies.
– Dégradation du rôle tampon de la glace. La neige et la glace de l’Arctique agissent en effet comme des tampons qui absorbent la chaleur en fondant. En leur absence, c’est l’océan qui devra absorber plus de chaleur.
Un second «effet Kiss Cool» pouvant provoquer une sorte de réaction en chaîne: le CO2 réchauffe assez l’atmosphère, la terre et les mers, pour que des bulles de méthane soient libérées dans l’atmosphère; ces bulles accélèrent encore le réchauffement; cette chaleur provoque l’émission de toujours plus de méthane, etc…
Seule bonne nouvelle, la durée de la présence de ce méthane dans l’atmosphère est plus limitée que celle du CO2. Néanmoins, son impact sur l’effet de serre est considéré comme 20 à 25 fois supérieur à celui du CO2 sur un cycle de 100 ans.
Le journaliste du New York Times relate le travail d’une scientifique, Katey Walter Anthony, de l’université d’Alaska à Fairbanks qui, dans les années 2000, est partie à la chasse aux bulles de méthane sur différents lacs de Sibérie. Elle est alors revenue pratiquement bredouille. En octobre 2011, en revanche, elle a pu observer de véritables panaches de méthane s’échappant de la surface de ces lacs. «On pouvait voir partout des gerbes de bulles», déclare-t-elle.
Des rejets plus rapides que prévus
Ce constat rejoint celui du scientifique russe Igor Semiletov, qui travaille au Centre de recherche arctique international de la même université d’Alaska. Interrogé par The Independant, le 13 décembre 2011, il témoigne de la découverte d’une concentration importante de panaches de méthane jaillissant du fond océanique arctique:
«Nous avions déjà trouvé des rejets sous forme de torche mais ils ne s’étendaient que sur quelques dizaines de mètres de diamètre.Pour la première fois, nous avons observé des écoulements continus et puissants sur 1.000 mètres de diamètre. Et nous en avons découvert plus de 100 sur une zone assez limitée. Il doit donc en exister des milliers… »
Ces observations vont dans le sens de l’étude internationale publiée par 41 chercheurs du Réseau de recherche sur le permafrost le 1er décembre 2011 dans la revue Nature. Les deux auteurs principaux, Edward Schuur (Université de Floride) et Benjamin Abbott (Université d’Alaska) révèlent des résultats qui seront pris en compte dans le prochain rapport du Giec, le cinquième, prévu pour 2014.
Crise de l’eau au Cap : l’Afrique du Sud déclare l’état de catastrophe naturelle
La ville du Cap est depuis des mois frappée par une sécheresse historique qui menace la mégapole de 4 millions d’habitants d’une rupture de son approvisionnement en eau potable.
Le Monde.fr avec AFP |
Les autorités sud-africaines ont proclamé mardi 13 février 2018 l’état de catastrophe naturelle dans tout le pays en raison de la sécheresse historique qui frappe depuis des mois l’agglomération du Cap, menacée d’une rupture de son approvisionnement en eau potable.
Cette décision, publiée dans le Journal officiel, a été prise après « réévaluation de l’ampleur et de la gravité de la sécheresse actuelle » et confie désormais la gestion de la crise au gouvernement. Sous son autorité, toutes les institutions de l’Etat sont désormais mandatées pour mettre en œuvre « les plans d’urgence, l’aide immédiate et les mesures de construction » nécessaires, selon le texte de l’arrêté signé par le chef du centre national de gestion des situations d’urgence, Mmaphaka Tau.
25 litres d’eau potable par jour et par personne
Après trois ans de sécheresse, le niveau d’eau dans les barrages, première source d’approvisionnement de la mégapole, est dramatiquement bas, et la deuxième ville d’Afrique du Sud pourrait se retrouver sans eau dans les prochaines semaines. Ce sera le « jour zéro ». En novembre 2017, il avait été fixé au 13 mai 2018, puis un temps à la mi-avril, avant d’être reporté cette semaine au 11 juin.
Pour retarder l’échéance, les quelque 4 millions d’habitants du Cap ont été invités à n’utiliser que cinquante litres d’eau par personne et par jour, l’équivalent d’une douche quotidienne de trois minutes. Les autorités locales ont menacé d’infliger des amendes à ceux qui dépasseraient ce seuil mais leurs menaces n’ont, pour l’heure, pas été mises à exécution. Si le « jour zéro » se produit, les Captoniens devront se ravitailler aux 200 points de collecte d’eau, où ils recevront un maximum de 25 litres par jour et par personne. La municipalité du Cap, contrôlée par le parti d’opposition de l’Alliance démocratique, est vivement critiquée pour ne pas avoir tenu compte des avertissements des experts et ne pas avoir pris plus tôt des mesures de restriction.
El Niño : vague de sécheresse mondiale - science 12/2/2016
Une vague de sécheresse s'est abattu sur Israël, sur la Grèce, sur l'Italie, la Turquie, la France, l'Espagne, sur l'Amérique centrale, la Californie USA, une partie de l'Afrique et de l'Asie, l'Australie, etc.... Son corollaire ? une pénurie alimentaire et notamment ici à Haïti où de nombreux paysans ont perdu leur récolte. Derrière cette sécheresse se cache le phénomène climatique d'"el Niño
Quatre personnes sur dix souffrent de la raréfaction de l’eau. Les villes sous pression de l’explosion démographique sont à leur tour touchées et menacées de rupture d’approvisionnement.
LE MONDE |
Alerte à la sécheresse ! Mardi 13 février 2018, les autorités sud-africaines ont proclamé l’état de catastrophe naturelle dans tout le pays. Les 4,5 millions d’habitants du Cap sont menacés de se voir couper les robinets. Au Mozambique voisin, alors que les réserves sont au plus bas, un quart de l’agglomération de Maputo (4 millions d’habitants) est privée d’eau potable, car le gouvernement a décidé d’alimenter en priorité l’agriculture et la production d’électricité. La situation en Afrique australe est révélatrice d’une crise mondiale de l’eau. Elle touche désormais les centres urbains et non plus seulement les campagnes. En 2015 déjà, Sao Paulo, la ville la plus peuplée du Brésil, avait failli connaître elle aussi les affres du « jour zéro ». Puis en 2016, ce fut le tour de Freetown en Sierra Leone, de La Paz en Bolivie, de Ouagadougou au Burkina Faso.
Quatre personnes sur dix souffrent de pénurie dans le monde, selon l’Organisation des Nations unies, qui prévoit une probable dégradation à l’avenir sous l’effet du changement climatique. Le réchauffement va accentuer l’aridité des régions du monde qui en souffrent déjà, contribuer au desséchement des sols, accélérant l’évaporation des végétaux et rendant plus difficile l’absorption des pluies diluviennes qui filent alors trop vite vers l’océan. Les sécheresses à répétition vont aggraver les problèmes que connaissentdéjà les centres urbains sous la pression d’une explosion démographique généralisée. Plus de la moitié (54 %) de la population mondiale vit en ville aujourd’hui et les prévisions d’augmentation oscillent entre 60 % et 92 % d’ici à la fin du siècle. Les installations d’alimentation et d’assainissement ne parviennent pas à suivre un tel rythme.
18 mars 2010 - La sécheresse aiguë qui touche le sud-ouest de la Chine soulève de nouvelles questions sur la durabilité du modèle de développement chinois.
3 juil. 2017 - PEKIN (Reuters) - Des pluies torrentielles se sont abattues lundi sur certaines régions du centre et du sud de la Chine, où les inondations ont fait au moins 33 morts et endommagé les cultures, tandis que le nord du pays subissait canicule et sécheresse. Le niveau des eaux de plus de 60 rivières du sud de ...
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Le Monde de Narnia : Le Prince Caspian ou Les Chroniques de Narnia : Le Prince Caspian au Québec est un film américain réalisé par Andrew Adamson, sorti en 2008. Wikipédia
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; "Superstorm Rats")
