La coalition internationale reconnaît l’usage d’obus au phosphore à Mossoul
Si la coalition internationale se défend de mettre en danger les civils, des tirs de munitions incendiaires ont ciblé des zones d’habitations.
LE MONDE |
La coalition internationale a bien tiré des obus au phosphore blanc dans des zones habitées contrôlées par l’organisation Etat islamique(EI) à Mossoul, en Irak, et vraisemblablement à Rakka, en Syrie : des munitions qui se dispersent dans l’air et qui, en retombant au sol, provoquent des brûlures profondes qui atteignent les muscles et les os.
« Nous avons fait usage de phosphore blanc dans l’ouest de Mossoul pour créer un écran de fumée et permettre aux civils de fuir », a déclaré mardi 13 juin le général néo-zélandais Hugh McAslan, porte-parole de la coalition, à la radio publique américaine NPR.
Cette déclaration confirme des vidéos explicites, filmées par des militants de l’opposition syrienne à Rakka le 8 juin et par la télévision Kurdistan 24 à Mossoul le 3 juin, qui montrent des séries d’explosions d’obus à une trentaine de mètres de hauteur, puis la retombée en grappes, dans les rues et sur des immeubles d’habitations, de flammèches blanches qui provoquent des incendies.
Effets immédiats mais aussi à long terme
Sans démentir l’usage de phosphore blanc à Rakka, la coalition internationale s’est défendue, dans un communiqué diffusé lundi, d’y mettre en danger des civils : « La coalition prend toutes les précautions raisonnables pour limiter le risque de blessures accidentelles pour les non-combattants et les dommages aux structures civiles. »
L’armée irakienne a elle aussi admis sur son compte Facebookavoir procédé « en coordination avec la coalition internationale » à des frappes près d’un grand hôpital de Mossoul « pour protéger des civils fuyant la zone en obscurcissant la vision des snipers de l’EI postés dans l’immeuble ». Des explications qui ne convainquent pas les ONG, qui dénoncent la dangerosité de ces munitions pour les civils.
En novembre 2016, l’ONG Amnesty International s’était déjà inquiétée de leur usage sur des villages de la région de Mossoul, en Irak. En mars, leur utilisation, en plein centre de Mossoul cette fois, a été rapportée par le collectif d’investigation britannique Bellingcat.
Si l’utilisation du phosphore blanc n’est pas interdite, le Comité international de la Croix-Rouge rappelait en 2009, après leur usage par l’armée israélienne à Gaza, que « l’utilisation de telles armes contre tout objectif militaire situé dans des zones où se concentrent des civils est interdite, sauf si l’objectif en est clairement séparé ».
« Ce sont des armes incendiaires, rappelle Aymeric Elluin, responsable du plaidoyer armes et impunité d’Amnesty International. Par nature, leur utilisation devrait être proscrite sur des zones densément peuplées. Cela relève du crime de guerre. » « Elles représentent un danger double, immédiat et sur la durée. Sur l’instant, elles tuent et mutilent. Et ont un effet sur le long terme. Ce sont des obus qui dispersent des feutres imprégnés de phosphore blanc. Enfouis sous le sable, ils peuvent s’éteindre provisoirement, puis se rallumer spontanément au contact de l’air, en étant par exemple déplacés par des civils. Ils ont le même effet à terme que des mines antipersonnel », explique-t-il.
« Des armes incapables de cibler quoi que ce soit »
Une photo publiée par le Pentagone en août 2016 montre le 320e régiment d’artillerie de l’armée américaine, en action dans la région de Rakka pour appuyer les Forces démocratiques syriennes, tirer des obus M825A1. Ceux-ci dispersent 116 morceaux de feutre imprégnés de phosphore sur un rayon de 125 à 250 mètres.
« Ce sont des armes qui sont incapables de cibler quoi que ce soit au sol, dénonce Aymeric Elluin. L’EI se sert en plus de boucliers humains et empêche les civils de partir, comment pouvez-vous dès lors assurer que ces derniers seront à l’abri du phosphore blanc ? »
Il resterait près de 130 000 habitants à Rakka. Depuis juin 2016, près de 1 500 civils auraient péri dans la province syrienne, victimes des combats et des bombardements, selon les activistes du réseau Raqqa Is Being Slaughtered Silently (« Rakka se fait massacrer en silence »).
Dans sa chronique hebdomadaire, Alain Frachon, éditorialiste au « Monde », analyse les risques qu’impliquent la mise au ban du Qatar et la diabolisation de l’Iran par Riyad.
Perturbateurs endocriniens : « Le problème est la dose à laquelle l’homme est exposé »
Pour André Cicolella, toxicologue, il faut les éliminer « à la source car on ne peut pas les gérer par la dose ».
LE MONDE |
Déodorants, parfums, maquillage, crèmes, shampooing… L’UFC-Que Choisir a mis en garde, mercredi 7 juin, contre 1 000 produits cosmétiques et dénonce notamment les « cocktails détonants » retrouvés dans certains articles, qui cumulent plusieurs perturbateurs endocriniens. Parmi eux, l’association a repéré 23 produits incorporant dans leurs formules des substances « rigoureusement interdites » et pourtant en vente sur le marché.
Pour André Cicolella, toxicologue et chercheur français en santé environnementale, il faut « éliminer les perturbateurs endocriniens à la source car on ne peut pas les gérer par la dose ».
La base scientifique sur laquelle repose cette étude est solide. Grâce à des études faites sur des rats et des souris, on sait maintenant depuis plusieurs années que les perturbateurs endocriniens ont des effets réels : malformations des organes génitaux, anomalies du comportement sexuel, cancers… Il faut des décennies pour faire ces études chez l’humain, mais on a la certitude que ce qui est observé chez la souris et le rat est transposable chez l’homme. Cependant, on n’a aucune idée de ce qu’une certaine dose d’exposition à un mélange de perturbateurs endocriniens donnera sur le long terme. C’est pour cela qu’il faut les éliminer à la source car on ne peut pas les gérer par la dose.
Quelle est la population la plus sensible aux perturbateurs endocriniens ?
C’est la femme enceinte car il y a des risques pour le fœtus, dont les organes sont en formation. L’exposition peut être de courte durée pendant la grossesseet avoir des incidences sur le long terme. C’est un véritable changement de paradigme. Aujourd’hui, le problème est que nous ne sommes pas exposés à un seul produit mais à un cocktail de produits. Donc les effets à long terme dépendront des produits auxquels l’enfant a été exposé lors de sa vie intra-utérine et de la coexposition à d’autres substances par la suite.
Par voie orale ou cutanée, l’organisme ne fait pas la différence. On l’a bien vu avec le bisphénol A. Le problème est la dose à laquelle l’homme est exposé. Avec les cosmétiques, on a le sentiment que l’exposition est de courte durée alors qu’elle est en réalité renouvelée. Par exemple, les phtalates [incorporés comme fixateurs dans de nombreux produits cosmétiques comme les vernis à ongles, laques pour cheveux, parfums, mais aussi dans les crèmes corporelles] passent par la peau. Et le lien avec cette substance montre une féminisation des hommes, car certains phtalates suppriment le pic de testostérone.
Quels sont les risques auquel l’homme est exposé ?
Les risques sont multiples : troubles de la reproduction (fausse couche, malformations génitales, retard de développement du fœtus…), trouble du comportement, hyperactivité, cancers du sein et de la prostate, obésité, surpoids et diabète, infertilité qui augmente… Le bisphénol, par exemple, rend infertile le rat sur trois générations.
Comment se protéger des perturbateurs endocriniens ?
Il faut diminuer au maximum les sources de contamination et utiliser des produits bio qui, a priori, respectent les normes. Mais le consommateur doit vérifier les labels.
Le nombre d'obèses a plus que doublé dans 73 pays depuis 1980
WASHINGTON (AFP) -
Le nombre d'obèses a plus que doublé dans 73 pays depuis 1980 et a continué à augmenter dans les autres nations, entraînant un fort accroissement de maladies liées au surpoids, selon une vaste étude publiée lundi.
En 2015, 107,7 millions d'enfants et 603,7 millions d'adultes souffraient d'obésité dans le monde, ont déterminé les auteurs de ces travaux parus dans la revue médicale américaine New England Journal of Medicine et présentés à une conférence à Stockholm.
« Monsanto Papers » : la bataille de l’information
Pour sauver le glyphosate, la firme s’en prend à l’agence des Nations unies contre le cancer, qui a classé son produit phare cancérogène. Deuxième volet de notre enquête.
En Argentine, troisième producteur mondial de soja, l’usage des pesticides est très répandu, comme ici dans les champs de la province de Santiago del Estero.
Elle l’avait promis « plus inoffensif que le sel de table », mais c’était dans les publicités. Le glyphosate, l’herbicide le plus utilisé sur la planète, le principal ingrédient de son produit-phare, le Roundup, sur lequel elle a bâti son modèle économique, sa fortune et sa réputation, commercialisé depuis plus de quarante ans et devenu best-seller avec le développement des semences transgéniques dites « Roundup ready », serait en réalité cancérogène.
Le 20 mars 2015, Monsanto accuse le coup. Ce jour-là, le glyphosate est déclaré génotoxique (il endommage l’ADN), cancérogène pour l’animal et « cancérogène probable » pour l’homme par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC).
Le jury : un groupe de dix-sept experts chevronnés de onze nationalités, rassemblés par cette agence officielle des Nations unies chargée de dresser l’inventaire des substances cancérogènes et dont les avis font autorité depuis près d’un demi-siècle. Il ne fait alors aucun doute que ce sera aussi la destinée de leurs conclusions sur le glyphosate, publiées sous la forme d’un rapport, la « monographie 112 ».
Déclaration de guerre
Loin des regards, la fureur du groupe américain traverse l’Atlantique par fibre optique. Le jour même, une missive au parfum de déclaration de guerre part à Genève, en Suisse, à la direction de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la maison mère du CIRC.
Le papier à en-tête arbore la célèbre petite branche verte encadrée d’un rectangle orange : le logo de Monsanto. « Nous croyons comprendre que les participants du CIRC ont délibérément choisi d’ignorer des dizaines d’études et d’évaluations réglementaires publiquement disponibles qui soutiennent la conclusion que le glyphosate ne présente pas de risque pour la santé humaine », accuse Philip Miller, le vice-président de Monsanto chargé des affaires réglementaires.
Parmi les points qu’il annonce vouloir...
Somalie: elles fuient la faim, et sont violées dans les camps de déplacés
C'était une nuit du mois de mars. Le soldat était mince, mais fort. Son uniforme et ses bottes étaient neufs. Après s'être introduit dans le misérable abri de fortune de Hawo, il a pointé une arme sur la gorge de cette Somalienne et l'a violée. Deux fois.
"Dans ma tête, je peux encore le voir", confie cette jeune femme vivant à Dusta, un camp installé dans la ville de Baidoa, dans le sud-ouest de la Somalie, où sont rassemblés des Somaliens déplacés par la faim et la sécheresse.
Hawo ne souhaite pas révéler som nom complet. Son nouveau-né pleurait pendant qu'elle subissait ce viol, terrifiée. Ses deux autres enfants, un peu plus âgés, dormaient eux à poings fermés.
Dusta, véritable océan de bicoques faites de bâtons, bâches en plastiques et vieux tissus, s'étend jusqu'à un camp où sont stationnés des soldats de la mission de l'Union africaine en Somalie (Amisom), qui combattent les islamistes shebab affiliés à Al-Qaïda et ayant juré la perte du gouvernement somalien.
Pourtant, les résidents de Dusta interrogés par l'AFP assurent être livrés à eux-mêmes. Personne ne les protège, disent-ils, que ce soit l'Amisom, l'armée, les milices locales ou l'ONU.
La plupart des habitants de Dusta sont des femmes et enfants issus de régions contrôlées par les shebab et venus dans la capitale régionale à la recherche de nourriture, d'eau et de soins médicaux.
Selon un décompte de l'AFP basé sur les chiffres de deux ONG locales - Isha et le Somali Children Welfare and Rights Watch (SCWRW) -, au moins 54 femmes ont été violées ou agressées sexuellement dans les 168 camps, qui abritent plus de 155.000 personnes et se sont multipliés autour de Baidoa alors que le pays est au bord de la famine.
La majorité de ces attaques sont commises par des soldats, explique Muhudin Daud Isack, qui travaille pour Isha. "Quand ils ont l'opportunité de le faire, ils commettent un viol".
- Viols collectifs -
Farhiyo Ahmed Mohamed, une policière à la tête d'une unité spéciale chargée de combattre les violences envers les femmes, reconnaît que des hommes en uniforme ont été impliqués dans de telles attaques et évoque une affaire de viol dans la ville de Goof Gaduud, à l'extérieur de Baidoa, pour laquelle un soldat a été condamné et emprisonné.
Elle accuse cependant les ONG d'exagérer le nombre de viols dans les camps afin d'obtenir plus de subsides.
La Somalie est plongée dans le chaos et la violence depuis plus de 25 ans, et si la communauté internationale l'aide à rebâtir des institutions telles que l'armée et la police, le processus met du temps à porter ses fruits.
Selon l'ONG Isha, neuf femmes du camp de "Buur fuule 2" ont été violées une nuit de janvier par un groupe de civils armés de pistolets et de couteaux. Elles ont été extraites de leurs abris et violées par plusieurs hommes.
Cinq de ces femmes ont été interrogées par l'AFP. Deux d'entre elles ont raconté que leurs maris étaient tenus en joue pendant les viols. Une victime de 37 ans a, elle, assuré que si les viols sont monnaie courante dans ces camps, les viols collectifs ne le sont pas.
Les organisations humanitaires reconnaissent l'existence du problème croissant des viols, mais expliquent que la crise somalienne comporte de multiples facettes et que la priorité est accordée à d'autres maux. "Les programmes visant à améliorer la protection des femmes sont souvent sous-financés (...), ce même si les violences faites aux femmes augmentent lors des situations d'urgence", souligne Evelyn Aero, du Conseil norvégien pour les réfugiés (NRC).
- Dignité -
De retour à Dusta, Hawo explique que malgré son viol par un soldat, elle souhaite davantage de personnes armées dans le camp. Après ce traumatisme, elle a rapproché son abri de la base de l'Amisom et dit se sentir ainsi plus en sécurité.
D'autres ne souhaitent pas voir plus d'hommes armés dans le camp et estiment que la solution passe par la construction d'abris solides, en pierre et en tôle.
"Au-delà de la survie, l'abri est nécessaire (...) pour s'assurer que chaque personne soit en sécurité, et assurer le droit à la vie privée et la dignité, particulièrement pour les femmes et enfants", estime Gavin Lim, un spécialiste de la protection pour le Haut-commissariat de l'ONU aux réfugiés (UNHCR).
Mais alors que la sécheresse se prolonge et que la menace de la famine se rapproche chaque jour un peu plus, le nombre de déplacés augmente, rendant encore plus épineuse la question de la sécurité des femmes dans les camps.
Plus de 377.000 Somaliens ont été déplacés lors des trois premiers mois de 2017, portant à plus d'un million le nombre total de personnes déplacées par le conflit et la sécheresse en Somalie. Et l'UNHCR table sur trois millions d'ici la fin de l'année.
Par Amanda SPERBER
Aiseau-Presles: deux individus en camionnette blanche tentent d'attirer un enfant avec un paquet de bonbons
Tentative d'enlèvement à Aiseau-Presles: deux individus en camionnette blanche tentent d'attirer un enfant avec un paquet de bonbons
Une enfant qui rentrait de l'école a été accostée par deux individus se déplaçant en camionnette, mardi, à Aiseau-Presles. Les auteurs ont proposé des bonbons à la fillette pour tenter de l'attirer. Un riverain est finalement intervenu, mettant en fuite les suspects.
Les faits se sont produits dans la rue Scohy, à Aiseau-Presles, indique le parquet de Charleroi. La petite fille rentrait de l'école à pied lorsqu'une camionnette blanche s'est arrêtée à sa hauteur. Les deux hommes qui se trouvaient à bord ont exhibé un paquet de bonbons de couleur rose mais l'enfant a refusé la proposition. Les auteurs ont encore insisté et ont stationné leur véhicule un peu plus loin pour interpeller à nouveau l'enfant. Ce manège a fini par attirer l'attention d'un riverain qui a mis les individus en fuite. Selon les autorités judiciaires, ce type d'agissements suspects se multiplie dans la région.
Le papa de Jihane, la fillette de 6 ans disparue à Anderlecht, s'exprime: "Ils disent qu'il y a quelqu'un qui l'a pris à la main et qui est parti avec"
RTL INFO 13/6/2017
Le papa de Jihane, la fillette de 6 ans disparue à Anderlecht, s'exprime: "Ils disent qu'il y a quelqu'un qui l'a pris à la main et qui est parti avec"
Une petite fille de 6 ans, Jihane El Oizi a disparu dimanche après-midi alors qu'elle se promenait au marché de l'Abattoir à Anderlecht en compagnie de son papa.
C'est un homme perdu qu'Alexandra De Paepe a joint pour Bel RTL ce matin : "Elle était à côté de moi et puis je regarde autour de moi et je ne la vois pas...", raconte-t-il.
Immédiatement, un avis de recherche a été lancé par la police fédérale et Child Focus pour cette disparition jugée inquiétante, étant donné le jeune âge de la fillette.
Son père se raccroche aux premiers éléments de la police selon lesquels les caméras de surveillance des lieux auraient filmé un homme tenant sa fille par la main. "Ils disent qu'il y a quelqu'un qui l'a pris à la main et qui est parti avec. Ils l'ont vu aux caméras", déclare-t-il ce matin.
Les recherches se sont poursuivies toute la nuit, sans succès pour le moment.
Chaque année, plus de 30.000 enlèvements ont lieu à travers le monde. C'est le nombre déclaré des enlèvements.
* HAÏTI occupe le premier rang dans les dix plus risqués endroits dans le monde qui rencontre le plus grand nombre d'enlèvements, tandis que * le MEXIQUE est au deuxième rang.
*L'AMERIQUE LATINE, plus de 55 pour cent de la kidnappe totale a lieu dans ce pays.
* AUX ETATS UNIS, un enfant est enlevé toutes les 40 secondes selon les statistiques présentées par les enfants des États-Unis disparus.
Les enfants du groupe d'âge de 4 à 11 ans sont la moitié du nombre total des enlèvements signalés. Près de 500.000 enlèvements ne sont pas signalés. Les données de FBI National Crime Information Centre montrent que le nombre total des personnes disparues a augmenté de 468 pour cent de 1982 à 2000, et il y a eu une augmentation de 100 pour cent au cours des six dernières années.
Il y a :
- une augmentation du nombre d'enlèvements chaque année.
- Selon les statistiques, l’augmentation est énorme ; de près de plus de 100 pour cent dans le nombre de personnes disparues chaque année.
- une augmentation dans le paiement de rançons en moyenne chaque année. La rançon moyenne varie entre 500 à 100 millions $
- Près de 70 pour cent du nombre total d'enlèvements qui ont lieu à travers le monde sont résolus en payant la somme de rançon.
- Le nombre de victimes sauvées est presque de 10 pour cent du total
- Environ 21 pour cent des victimes sont laissées sans rançon que les ravisseurs / les auteurs estiment qu'aucune rançon ne sera payée pour leur libération
Frères et sœurs, dans nos coeurs pensons aux enfants kidnappés par des sectes, les otages dans le monde, et prions très fort pour que cessent toutes tortures infligées aux enfants par des illuminati: cf témoignage Svali
Des millions de personnes enlevés à travers le monde, et vous… ?
La croyance en la réalité des abductions, et le nombre de rapté et tellement élevés aux états unis, que les américains peuvent souscrire une assurance contre le: " kidnapping extraterrestres " ! Ils peuvent ainsi bénéficier d'une indemnisation de 10 à 25 millions de dollars.
Cela ne s'est encore jamais produit jusqu'à présent, car les compagnies d'assurance exigent que la réalité de l'enlèvement soit établie par des preuves incontestables...
Ci-dessous un questionnaire très sérieux mis au point par des scientifiques pour identifier les personnes ayant été enlevées par extraterrestres.
L'intérêt des scientifiques : Le sondage Roper …
Au cours des années 1980 les témoignages de personnes affirmant avoir été enlevées par extraterrestres se sont multipliés.
En 1992 Robert Bigelow, homme d'affaire de Las Vegas, et SAS le prince Hans-Adam de Liechtenstein tout deux intéressés par le phénomène, ont financé un sondage visant à savoir plus précisément combien de personnes avaient été enlevées.
Un questionnaire fut mis en place par Budd Hopkins, John Mack (professeur de psychiatrie), R. Westrum (professeur de sociologie), D. Jacobs (professeur d'histoire) et J. Carpenter (psychologue). 6 000 personnes représentatives de le population américaine furent interrogées, et l'analyse des résultat fut envoyée à 100 000 professionnels de la santé mentale.
Le sondage ne faisait a aucun moment directement allusion à un enlèvement extraterrestre. De plus, il y avait une question-piège pour tester l'honnêteté des personnes interrogées.
Des millions de personnes, ont eu une rencontre avec des visiteurs. Plusieurs de ces personnes ne se rendent pas compte qu'elles ont eu ces expériences en raison de l'effacement de la mémoire. Leur conscience est limitée à un incident paranormal occasionnel qui semble les confondre davantage que toute autre chose. Quelques personnes ne sont pas prêtes, ou ne veulent pas savoir. D'autres ressentent un besoin profond de savoir si elles sont impliquées.
En se basant sur les résultats du sondage "Roper", un ufologue américain et pilote de ligne Robert Durant, évalue à 2 740 le nombre d'enlèvements sensé être perpétrés chaque JOUR aux USA !
En Ramenant à 2 heures la durée moyenne d'un rapt, qui nécessite la présence de 6 aliens en moyenne, il estime que 1 370 extraterrestres " travaillant " 24/24 seraient nécessaire pour accomplir ces travaux rien que sur le sol américain !
En extrapolant le phénomène au monde entier, les résultats donnent 60 280 enlèvements par jour, ce qui impliquerait la présence de 30 140 extraterrestres, qui interviendraient inlassablement, sans perdre une minute de repos !
Donc comme cela est impossible, les extraterrestres qui effectuent cette besogne sont bien plus nombreux dans notre proche environnement que 30 140 entités, on peut raisonnablement supposer qu'ils sont des centaines de milliers, voir des millions !
Cette puissante vague d'enlèvements est en augmentation, et à lieu dans le monde entier, sans exception depuis plusieurs années, elle ne laisse présager le moindre signe d'épuisement, bien au contraire...
Ci-dessous une liste de plusieurs indicateurs communs partagés par la plupart des "enlevés" par des Ovnis. Cette liste est basée sur la recherche connue sur le sujet et le regroupement de plusieurs cas (souvent sous hypnose). Elle est compilée pour aider à déterminer si vous êtes un "enlevé".
Il est toujours difficile de parler de ces choses-là, car on passe très vite pour un dingue. Il n'existe pourtant pas de syndrome spécifiquement lié aux Ovnis. Naturellement, il peut y avoir d'autres explications pour chacun de ces cas.
58 indicateurs de rencontres avec des extraterrestres :
01 Vous avez perdu du temps sans explication, une heure ou plus.
02 Un jour vous étiez paralysé dans le lit de votre chambre.
03 Vous avez eu des cicatrices ou des marques peu communes sans explication possible sur la façon dont vous les avez reçues (petite marque sur une ou plusieurs dents, cicatrice en ligne droite, marques triangulaires, cicatrices dans le haut de la bouche, dans le nez, derrière ou dans les oreilles, etc).
04 Vous avez vu des boules de lumière ou des flashes de lumière dans votre maison ou d'autres endroits.
05 Vous vous souvenez avoir eu l'impression de voler sans que cela puisse être un rêve, ou beaucoup de rêves impliquant le vol.
06 Quelque chose de bien précis a marqué votre mémoire et ne partira pas ( un visage étranger, un examen, une aiguille, une table, un bébé maigre étrange, etc. ).
07 Vous avez vu un faisceau de lumière à l'extérieur ou à travers une fenêtre.
08 Vous rêver souvent d'Ovnis et de faisceaux de lumière, d'espace et de planètes ou de créatures pouvant être des visiteurs.
09 Vous avez cru apercevoir un ou plusieurs Ovni dans votre vie.
10 Vous avez une espèce de conscience cosmique, un intérêt pour l'écologie, l'environnement, le végétalisme, le social ...
11 Vous êtes persuadé d’avoir une mission ou une tâche importante à exécuter sur terre, sans savoir d'où cette contrainte vient.
12 Vous avez un sentiment secret que vous êtes "spécial" ou "choisi," d’une façon ou d'une autre.
13 Vous avez eu des événements inexplicables dans votre vie, et vous vous sentez étrangement anxieux depuis.
14 Vous avez eu plusieurs expériences psychiques étranges telles que savoir que quelque chose va se produire avant cela ne se produise.
15 Si vous êtes une femme : Vous avez eu une grossesse fausse couche ou le foetus était absent après un test de grossesse positif.
16 Vous vous êtes réveillé dans un autre endroit que celui où vous êtes allé dormir, ou vous ne vous rappelez pas être allé vous coucher.
17 Vous avez rêvé d'yeux tels que les yeux d'animaux (Une chouette, un élan), ou vous vous souvenez de voir un animal regarder en vous. Ou encore vous avez une phobie des yeux.
18 Vous vous êtes un jour réveillés au milieu de la nuit en sursaut.
19 Vous avez une forte attirance quand vous voyez un Ovni ou un extra-terrestre dans la presse où à la télé, voir même une aversion au phénomène des Ovnis.
20 Vous avez inexplicablement des craintes ou des phobies fortes (Objets tranchants pointés vers vous, serpents, araignées, insectes, bruits, lumières, votre sécurité, peur d'être seul).
21 Vous avez un problème d'amour-propre dans votre vie.
22 Vous avez vu quelqu'un de votre entourage devenir paralysé, immobile, devant vous, quelqu'un avec qui vous dormiez.
23 Vous avez la mémoire d'un endroit spécial de nature spirituelle, quand vous étiez un jeune.
24 Vous avez eu quelqu'un dans votre vie qui prétend avoir été témoin d'un Ovni ou d'un visiteur avec vous, mais vous ne vous souvenez plus.
25 Vous avez eu une tache de sang sur votre oreiller sans explication sur la façon dont s’est arrivé.
26 Vous avez un intérêt particulier sur le sujet des soucoupes volantes et des visiteurs, vous désirez tout connaitre sur le sujet.
27 Au contraire, vous avez une aversion extrême sur le sujet des Ovnis, cela ne vous intéresse absolument pas.
28 Vous étiez soudainement obligé de conduire ou de marcher vers un endroit à l'écart ou inconnu.
29 Vous avez eu le sentiment d'être observé une grande partie du temps, particulièrement la nuit.
30 Vous avez eu des rêves où vous passiez à travers une fenêtre fermée ou un mur.
31 Un jour vous avez vu un brouillard ou une brume étrange qui ne devaient pas être là.
32 Vous avez entendu des bruits de ronflement ou de palpitation étranges, et vous ne pouviez pas identifier la source.
33 Votre nez saigne souvent où vous avez la sensation qu'il a été purgé au moment de votre réveil un matin.
34 Vous vous êtes réveillé un jour avec une douleur dans vos parties génitales sans explications.
35 Vous avez eu mal au dos ou des problèmes au cou, ou vous vous êtes réveillé avec une rigidité peu commune dans n'importe quelle partie du corps.
36 Vous avez de la sinusite chronique des problèmes nasaux.
37 L'électronique autour de vous marche mal ou il y a un défaut de fonctionnement sans explication (les réverbères clignotent souvent quand vous marchez à proximité, les TV et radios grésillent à votre approche, etc.)
38 Vous avez vu une silhouette à capuchon s'approchant de votre maison, ou à côté de votre lit.
39 Il y a un sifflement sporadique dans vos oreilles, particulièrement dans une oreille.
40 Vous avez une crainte peu commune des médecins ou tentez d'éviter les traitements médicaux.
41 Vous êtes insomniaque ou vous vivez décalé la nuit.
42 Vous avez eu des rêves de médecin ou de procédure médicale telle que des opérations.
43 Vous avez des maux de tête fréquents ou sporadiques, particulièrement dans le sinus, derrière un oeil, ou dans une oreille.
44 Vous avez le sentiment que vous devenez fou parfois à force de penser à ce genre de choses.
45 Vous avez eu des expériences paranormales ou psychiques, y compris l'intuition.
46 Vous êtes enclin à un comportement compulsif provoquant une dépendance.
47 Vous avez l'impression de recevoir des messages télépathiques, ou d'être guidé parfois.
48 Vous entendez une voix externe dans votre tête, vous parlant, peut-être vous instruisant ou vous guidant.
49 Vous avez des problèmes sexuels ou dans les rapports (tels que le sentiment que vous ne devez pas vous impliquer dans un rapport parce qu'il interférerait "quelque chose.")
50 Vous devez absolument dormir contre le mur ou avec votre lit contre un mur.
51 Vous avez la crainte que vous devez être très vigilant ou vous serez emporté par "quelqu'un."
52 Vous avez du mal à faire confiance aux autres, particulièrement aux autorités.
53 Vous rêvez de destructions ou de catastrophes.
54 Vous avez le sentiment que vous n'êtes pas censé parler de ces choses, ou que vous ne devriez pas parler d'elles. Pourtant vous ne pouvez pas vous empêcher d'en parler à des personnes proches ou vous déclarez croire aux Ovnis sans peur du ridicule.
55 Beaucoup de choses dans cette liste vous rappellent votre enfance ou vos parents.
56 Vous avez essayé de résoudre ces types de problèmes avec peu ou pas de succès du tout.
57 Vous êtes principalement attiré par les gens comme vous, vous les reconnaissez dès la première rencontre. Il y a un espèce de feeling entre vous assez étrange (même si l'autre personne ne croit pas aux Ovnis).
58 Vous avez le mal de vivre car vous savez qu'il existe un endroit mieux pour vous, mais peut-être pas sur terre, ailleurs.
59 Avez-vous vu ou entendu le mot trondant en sachant que ce terme a une signification secrète pour vous ?
SI vous avez plusieurs de ces cas, mais vous ne pouvez vous souvenir d'un enlèvement ou d'une rencontre avec un ou plusieurs visiteurs (rencontre de 3eme ou 4eme type), vous avez surement été " enlevé ".
Il est alors possible que des expériences auront été faites sur vous. Peut-être un implant aura été placé dans votre cerveau, ou ailleurs. Sachez aussi que les visiteurs peuvent guérir et sauver des vies. Peut-être étiez-vous malade et au moment de votre réveil vous ne l'étiez plus.
Si vous n'avez pas beaucoup de ces cas, vous n'avez absolument pas été victime d'un enlèvement par des êtres étrangers.
Vous étiez considéré comme abducté si vous aviez répondu oui à quatre des cinq questions suivantes :
- Vous êtes-vous réveillé paralysé, en ayant la sensation qu'une personne ou un être étrange était auprès de vous ? (oui à 18 %)
- Avez-vous eu une période d'amnésie d'une heure ou plus ? (13 %)
- Avez-vous vu des lumières inhabituelles ou des boules lumineuses dans votre environnement sans comprendre d'ou elles venaient ni ce qui pouvait les produire ? (10 %)
- Avez-vous découvert sur votre corps des cicatrices inconnues dont ni vous ni personne ne savez comment elles vous sont venues ? (8 %)
La question piège, formulée ainsi :"Avez-vous vu ou entendu le mot trondant en sachant que ce terme a une signification secrète pour vous ?" n'a eu que 1 % de réponses favorables.
Les auteurs du sondage ont établis que 2 % des interrogés étaient des abductés, ce qui fait, rapporté à la population américaine, 3 700 000 adultes qui présentent toutes les caractéristiques de l'enlèvement par des aliens.
"Des milliers d'américains, peut-être des millions, ont le souvenir d'avoir été appréhendé, réduits à l'impuissance et examinés par des êtres venus d'ailleurs tandis qu'ils étaient immobilisés sur une table dans une pièce étrangement éclairée.
Dans de nombreux cas, des cicatrices spécifiques ou des marques particulières sur la peau sont attribuées à la pratique de ces examens.